Monsieur Mourot,
A l"époque de la naissance de la Belgique (1830 soit 15 ans après
Waterloo), le principal danger pour les Pays avoisinants était les idées
françaises de la révolution, trop habituée à « raccourcir » l’entièreté
de la noblesse ! et faisait bien peur à toute la vieille Europe (son
aristocratie).
A cette époque, le bas-peuple parlait uniquement de multiples dialectes,
issus de « plaat dutch » au Nord, (on ne se comprenait pas d’un village à
l’autre), et de mélanges a base de latin de cuisine au Sud (on se
comprenait assez mal d’une région à l’autre)... seuls les aristocrates et les bourgeois parlaient couramment français !... quelle que fut leur origine géographique !
Le ressentiment(assez normal) vis-à-vis des plus puissants s’en vu
lentement transformer. En même temps que le français imposé aux peuples
du Sud, puis le « niewe taal », sorte de Néerlandais nouveau, au peuples
du Nord.
Si on y ajoute la tactique nazie, de provocations, probablement à des
fins de mieux diviser, et la véritable politique des politiciens belges
actuels prolongeant cette aubaine leur permettant de remplir pas moins
de 5 gouvernements pour un aussi petit Pays... on comprendra que les
choses, effectivement ne sont pas simples !
ll n’y a pas eu d’arrogance wallonne ! et peu de flamande, mais bien une arrogance de l’argent ! du pouvoir .. mais cela n’est, ni nouveau, ni terminé !