J’ai , avant de réagir, depuis 2 jours , cherchais d’une part ,cette
conférence.
D’autre part sa traduction.
Si les 5 langues européennes utilisées, n’ont pas fait d’erreur,
Il y a de quoi se poser 2 questions : ce type est -il
vraiment fou en plus d’être menteur ?
Est- il menteur parce qu’il est fou ?
En effet, en regardant la retransmission traduite, ON
annonce des
microsieverts / heure. 100.
Connaissant un tout petit peu dans ce domaine , je fais un calcul.
Il s’avère qu’il accepte pour les populations : 100 micro par
24 par 365
soit : 876 millisieverts /
an 876 mSv / an.
Or, pour les travailleurs en"
zone radioactive" en FRANCE et en Europe la dose maxi
acceptable cumulée réglementaire la dose maximale
est passée à
20 mSv par an.
Soit me dis-je,
c’est un problème de traduction, soit la langue
de ce monsieur a fourchée.
Effectivement je fouille, et trouve que
le 22 mars 2011 la préfecture de Fukushima reconnait qu’il y a eu
erreur.
Il fallait comprendre 10 et non pas 100...Ouf !
En effet ,en lisant des traductions incomplètes sur d’autres
journaux les échelles ne sont pas les mêmes.
Tout de même,
Regardant, le reste de ses autres conférences, cela ne
nous prête pas du tout à sourire !
C’est un farfelus, un allumé de "zenitude d’habitude
mensongère",
C’est aberrant ,contradictoire, interpellant !
Malheureusement, le pays du Soleil Levant n’a pas seul, l’apanage
de posséder ce genre de personnage.
Conclusions :
Mais ...... si il avait raison…………………………….. ç’a y’ est j’ai
compris.. !
Messmer(ce grand ministre négationniste des conséquences de nos
essais) :mort à 91 ans(paix à son âme).
Pellerin dans sa 89 ème année toujours ici. (tant mieux,
longue vie à lui encore), et en place pour donner des conseils,
appuyé par son non lieu !
(thèses de ce monsieur d’ailleurs « reprises » par le ministère de la Défense pour débouter les
vétérans. : citation (à 5 km d’une bombe atomique on ne risque rien des
radiations mai 2010 NIMES TPMI.
Et oui , on pourrait se dire que quelque part ils ont raison !!!.
Mentir peut conserver tout homme, même dans
l’uranium.
Gérard JOYON