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Je decris dans le texte ce que sont a mes yeux « les valeurs de la gauche », mais c’est vrai de manière assez elliptique.
Comprenez que j’avance en terrain miné, le long de la frontiere entre le Bien et le Mal, et que je suis prudent. Ca ne veut pas dire que je n’avance pas dans la reflexion mais juste que j’avance lentement.
Au point ou j’en suis, les « valeurs de la gauche » je les decrivais dans cette partie du texte :
"Les « valeurs de la gauche », ensemble assez flou et hétéroclite
d’affirmations, ont tout de même un point commun qui apparaît : les
tenir pour vraies, et/ou croire que ce serait une faute morale ou de la
bêtise de ne pas les tenir pour vraies, est toujours un manque de
lucidité. C’est un manque de lucidité, que de refuser de voir les
aspects du réel qui lui confèrent sa complexité morale.
«
---> Le déni de réel
»A moins d’être des saints, c’est aussi manquer de lucidité sur
nous-mêmes, que de ne pas admettre que nous avons une certaine volonté
de préserver notre vie et notre bien-être, qui peut dans des situations
moralement complexes, mettre des limites à notre altruisme.«
---> La négation de soi
»C’est encore
manquer de lucidité, que de s’acharner à poursuivre des finalités autres que le bonheur,
sans vouloir amender la conception que nous avons de ces finalités,
quand la poursuite de ces finalités ainsi conçues nous commande de
produire du malheur de manière superflue. C’est mal concevoir ces
finalités...«
---> L’acharnement idéologique
»..., et c’est surement aussi mal comprendre quelles sont les
conditions matérielles ou affectives de notre bonheur, ou ne pas
accepter ces conditions."
---> L’intolérance envers soi (envers ses défauts ou besoins qu’on a honte d’avouer)