• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de JL

sur Troy Davis, la peine de mort et les États-Unis


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Francis, agnotologue JL 23 septembre 2011 07:48

amipb,

j’ajouterai même que d’une certaine façon, elle « valide » le crime : en effet, pour quelqu’un qui a peu de respect de la vie d’autrui, le fait de voir la puissance publique, l’autorité qui donne l’exemple, commettre de sang froid des assassinats n’est pas de nature à le faire évoluer. Et même, cela peut donner un certain panache à ses actes criminels puisque il se trouve à égalité devant l’ennemi : lui aussi risque sa peau !

Cela me rappelle ce député fou qui disait : « S’il faut respecter la vie humaine, que messieurs les assassins commencent ».

Cette phrase délirante ne peut-être remise sur pied que si l’on y considère que les assassins désignés sont ceux qui prononcent des peines de mort. A ce titre un président qui dispose du droit de grâce et ne l’utilise pas est un assassin.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès