Commentaire de Marc Viot sur Mari violé, rivale liquidée, et fusillade au féminin

Marc Viot 23 septembre 2011 16:39

article écris à la première personne sans « e », je traduis : J’oli vié.

C facile, ... m’en tape, ça m’amuse au moins autant que vos conneries vous font braire ...

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24/09 02:50 - Olivier Kaestlé

À bien y penser, Antoine, l’un n’empêche pas l’autre... ;-)
24/09 02:08 - Antoine

Complottruc, tu n’as pas besoin d’un psychanalyste mais d’un prof de (...)
24/09 01:13 - Olivier Kaestlé

Pauvre petit chou , ta maman t a trop fessé ? C"est fou le nombre de gugusses ici qui pondent (...)
24/09 01:11 - Olivier Kaestlé

Bien d’accord avec l’ensemble de votre constat, Antoine.
24/09 01:09 - Olivier Kaestlé

La problématique des tueuses en série mérite l’intérêt. Plus cartésiennes parce que plus (...)
23/09 23:40 - Antoine

Vous dénoncez une mode, celle de la femme oie blanche et unique victime, et il en existe (...)