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Commentaire de Olivier Kaestlé

sur Mari violé, rivale liquidée, et fusillade au féminin


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Olivier Kaestlé Olivier Kaestlé 23 septembre 2011 17:18

J’en étais arrivé au même constat, Bertrand, mais devant l’élégance de la prose et la pertinence du propos, j’hésitais encore à répliquer à pareille élucubration. Il me semble en effet que, quand on se fiche de quelque chose, on ne s’y arrête pas, exactement ce que j’ai failli faire dans son cas. Merci de votre intervention.


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