@ l’auteur
Il ne s’agit pas vraiment d’expliciter puisque c’est une accusation (grave, j’en conviens) fondée sur des faits réels, il faudrait pour ceci vous raconter dans le détail ce qui se passe vraiment à Evry et comment les habitants, ceux qui aiment leur ville et y vivent (ce qui n’est pas son cas : il y « travaille » simplement) se font ou se sont fait rouler dans la farine.
Nous espérons nous faire entendre un jour.
La réflexion doit porter plus généralement sur les « promesses » électorales et le crédit qu’on doit leur donner.
Appuyons-nous sur des faits (Aubry et Lille, ses engagements dans de précédents gouvernements - Ségolène Royal, ses engagements dans les précédents gouvernements, son mandat à la Région Charente-Poitou, leur crédibilité, par exemple)
Evry est une ville enlaidie, de plus victime de massacre de repères culturels détruits sous nos yeux médusés par des bulldozers, en une journée, ne laissant aucune trace (vous savez, ces très vieilles bornes laissées le long des voies modernisées pour garder le souvenir d’une voie plus ancienne).
Après avoir écrit ces quelques lignes, c’est évidemment un peu prétentieux pour une ville encore jeune de 36 ans, mais je songeai aux bouddhas détruits à l"explosif en Afghanistan...
Ce qui reflète un état d’esprit qui n’augure rien de bon.
Plus grave encore, toute vraie démocratie locale a disparu au profit d’une vie associative partisane.
Alors qu’il aille se faire décorer en Angleterre par The Economist, incapable de s’exprimer en anglais, tout juste capable de prélever des cotisations foncières exorbitantes (remplaçant feu la taxe professionnelle) aux entreprises locales, je veux bien...pour des travaux pharaoniques et destructeurs...
Ce n’est pas bien du tout de mettre en regard Montebourg et Valls, même si ce n’était pas votre objectif.