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Commentaire de tikhomir

sur Pour une féminité décomplexée


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tikhomir 29 septembre 2011 11:59

Encore cette histoire de femmes victimes et de combat.

On va faire simple et didactique :
1 - Se poser en victime, c’est se mettre en position d’agressé, c’est la peur qui domine : la peur d’être agressé (ou opprimé, etc.). C’est tout à fait différent d’être une vraie victime et de relever la tête pour avancer.
2 - la peur n’est pas quelque chose qui doit dominer les rapports entre les personnes. Si vous vous enfermez dans ce comportement victimaire, vous vous mettez vous même en situation négative et vous aurez toujours peur d’être victime.
3 - il est normal qu’une personne victime veuille s’en sortir et pour ça il y a deux façons, une bonne : la victime surmonte sa peur et avance sereinement et une mauvaise façon : la victime a peur et devient agressive à son tour, prête à combattre l’agresseur ou le supposé agresseur/oppresseur.
4 - Les féministes de la plupart des courants ayant retenu simplement la mauvaise façon : elles sont agressives et bâtissent tous leurs raisonnement sur leur propre peur.
5 - bâtir de cette façon un raisonnement, c’est idiot en ce sens que la conclusion est déjà prête et on va trouver tout pour arriver à cette conclusion sans jamais vouloir la remettre en question, quitte à s’arranger avec la réalité.
6 - se complaire dans la position de victime, c’est se complaire dans la position de la personne dominée. Le féminisme victimaire est paradoxal en ce sens que les femmes de ces mouvements sont dominées et le cherchent d’elles-mêmes tout en disant qu’elles ne le sont pas ou ne veulent plus l’être (et en deviennent d’autant plus agressives).

Conclusion 1 : la féministe victimaire standard est tout juste au niveau de la jeune fille immature, simplement dominée par ses émotions... C’est une petite fille, immature, blessée, ayant peur de ce qui l’entoure et qui est différent : l’homme.
Conclusion 2 : la peur et la haine n’entraînent que la peur et la haine et vouloir combattre à ce point fait du féminisme victimaire un générateur de haine conséquent.
Conclusion 3 : le féminisme victimaire ne pouvant produire en l’état que de la haine, c’est donc un mouvement nuisible à la paix sociale et donc à la société. Tout mouvement nuisible doit être réprimé, il en va de l’unité d’une société et de la paix sociale.


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