@ Bubu
Portrait robot que vous dessinez du candidat « providentiel » aux élections de 2012 pour sortir la France, non pas de l’ impasse dans laquelle elle se trouve, mais des difficultés qu’elle traverse.
- - Homme ou femme ayant une solide expérience des rouages politiques et économique ( avec, pour être crédible aux du grand public, un ou plusieurs diplômes « sérieux »)
- - Ni trop jeune (inexpérimenté) ni trop vieux (fatigué...) soit idéalement entre 50 ans et 60 ans
- pas déjà compromis politiquement par un long passé partisan au sein du système UMPS (au sens large).
- - Sait dépasser pour les circonstances le clivage droite/gauche.
- - Propose aux français de manière argumentée sur le plan technique (juridique et économique) la seule solution envisageable = sortie de l’UE et de l’euro (et pourquoi pas de de l’OTAN tant qu’à faire
- -A le courage de dénoncer haut et fort tous les aspects odieux du Nouvel Ordre Mondial (origine de la construction européenne, crimes de guerre commis par l’OTAN, mensonges et omission de la VO des attentats du 11 septembre 2001, système mafieux oligarchique de la finance internationale etc)
- - Honnête, loyal et droit.
- - Charismatique.
Un tel candidat existe-t-il ? C’est peu probable mais la question mérite d’être posée, écrivez-vous.
Réponse : Ce candidat existe.Permettez-moi d’ajouter qu’il ne figure dans aucune des affiches politiques qui encombrent le paysage.
@ Aldous et Baladijnew :
Il me semble que vous êtes d’accord sur le fond.
L’analyse d’Hélène V qui privilégie un Europe coopérative est très posée (je cite) :« Le terme »Fédéralisme« porte en lui le germe du séparatisme et de l’implosion. Dans l’Histoire même récente, les exemples ne manquent pas : les régions riches accusant les plus pauvres de vivre à leurs crochets sans parler des différends ethniques et religieux ,le tout piloté par le fameux »diviser pour régner« qui ne se montre pas et que l’on ne veut pas voir.
Au Fédéralisme je préfère donc une Europe coopérative qui pourrait d’ailleurs fonctionner dans certains cas comme un syndic.
Quant à quitter l’euro et l’Europe dans le contexte actuel de guerre financière ça me semble peu courageux et surtout très imprudent.
Dans tous les cas de figure notre situation est difficile et sujette à dislocation. Seule une position intermédiaire peut nous permettre de jouer sur tous les tableaux. »