Quelques compléments à mes commentaires de la plage précédente sur la propagande « pro-pédo » :
La plupart des violences pédocriminelles
commises en occident (exclusion faite du tourisme sexuel, donc) sont le fait de
proches connaissances : membres de la famille, voisins, etc. Ces agresseurs ne sont pas nécessairement pédophiles (attirés
sexuellement par les enfants) ou hébéphiles (attirés par adolescents en
phase pubertaire, 10-15 ans), leur passage à l’acte est alors motivé par autre
chose. Et ils ne sont en général pas attirés exclusivement par les
enfants et/ou les jeunes adolescents. Il est probable que l’immense majorité d’entre eux se fichent éperdument des
mouvements militants pour les « droits » des pédocriminels.
Il existe également des pédophiles/hébéphiles n’étant jamais passé à
l’acte de quelque manière que ce soit, et qui se refusent notamment à
consommer du matériel pédo-pornographique impliquant l’exploitation
sexuelle d’enfants. Je crois volontiers que ces derniers sont en
souffrance et qu’ils ont besoin de lieux d’écoute. Tant qu’ils demeurent
conscients du mal qu’ils feraient en mettant leurs fantasmes en actes et qu’ils s’en abstiennent,
ils n’ont aucune raison de prendre part au prosélytisme de ceux qui
demandent une légalisation des actes sexuels des adultes sur les
enfants. Que ces derniers utilisent la souffrance des pédophiles
abstinents rend leur prêche d’autant plus abject.
La propagande « pro-pédo » n’est donc probablement portée que par une frange
minoritaire des pédocriminels. Mais elle s’appuie et renforce les
aveuglements sélectifs favorisant l’impunité et une certaine forme de
complaisance envers les pédocriminels qui ne collent pas à l’image d’un
Dutroux, d’un Emile Louis ou des membres d’un réseau satanique. En ce
sens, elle sert la quasi-totalité des pédocriminels.