Bonjour imothep,

ce que ton article ne souligne pas, c’est le désarroi des militants radicaux « de base », que pour habité la même ville que laurent hénard, j’ai pu constater vouloir ’y croire« , s’engager face au constat que la France va mal, en espérant en François borloo un candidat d’envergure national, crédible, capable de rassembler, etc, etc, jusqu’à hier soir...

ceux ayant anticipé et compris le cynisme de cette manoeuvre du parti radical ne consistant qu’a vouloir peser sur l’UMP en s’affirmant comme »courant indispensable« pour gagner la présidentielle n’étant pas parmi ceux qui ont voulu croire qu’en jean louis borloo il y avais une véritable alternative au centre droit.

il va de soi que les négociations entre l’ump et le parti radical sont désormais calibrées sur un ersatz de rapport de force, seule chose que comprend sarkozy, et qu’en cas de victoire de l’ump, le casting des ministrables en »tiendra compte« ,

et enfin, dans la médiacratie tel qu’on nous la scénarise en ce moment, orchestré par des »petits coups médiatique« comme celui de borloo hier, le retour d’une »droite unie«  »crédible« étalée sur le temps jusqu’au »moment fort« de la candidature de sarkozy sur un discours tendance »je vous ai compris mais pensons plus grand, pensons la France au dessus de nos petites divergences« ,

 n’est qu’une réponse au »rassemblement« de gauche » via ses primaires, une autre façon de légitimer un candidat comme étant celui qui incarne « plusieurs tendances », ou obtenant l’allégeance de plusieurs « courant », via des exercices médiatique façon borloo hier soir...

tout ceci permet évidemment à l’UMPS d’occuper le terrain, de se créer de nouvelles différences « de façade » en prétendant qu’elle sont « de structure », , afin d’étouffer le rejet du duôpole une fois de plus, tout en maintenant l’essentiel des électeurs dans le giron d’une même politique de fond, l’ump et le ps ne faisant guère que variées sur la communication et les petits ajustements sur fond d’alinéas...

amicalement, barbouse.