bjr claire 29
C’est fou mais à part sur le sites négationnistes, je n’ai jamais vu autant de négationnisme historique, et à part un espece d’homme malade qui fait l’apologie des theses d’un autre psychiatre, un dénommé gardner qui est pro pédophile etc..et qui a bosé dans les tribunaux en affirmant des propos si immonde envers les gosses, voilà que l’on se trouve sur le site avec des gens pour qui les millions de morts c’est pas vrai et pas grave et qui essaient de dire oui mais bon les juifs qui les scientologues en parlent aussi donc ça n’a aucune importance, c’est pas grave et je vous parie que certains vont même défendre les theses de la sap de ce malade mental pro pédophile et compagnie
vous pourrez montrer que le senateur kennedy un autre juif scientologue de toute evidence pour eux confirme ses crimes et eux mais non, c’est pas vrai nions et apres on est étonné qu’il y est eu tant de crimes et des camps nazis en fait ils sont entrain de montrer exactement pourquoi on peut droguer les gens, les electrocuter sans que ça fasse tilter la majorité, seul une minorité résiste, c’est dingue mais ça confirme la raison des génocides, des pogroms, des inquisitons
Qui est Richard A. Gardner ?
Richard Gardner est né le 28 avril 1931 dans le Bronx, àNew York, et est décédé le 26 mai 2003. Il est l’auteur de la théorie du syndrome d’aliénation parentale en 1985.
Ledit Richard Gardner travailla comme témoin expert, souvent au nom des pères accusés d’avoir agressé sexuellement leurs enfants affirmant qu’il s’agit d’une manipulation de la mère ou du père à l’encontre du parent que l’on quitte.
Pour comprendre le profil du fondateur de cette thèse on doit examiner son passée et ses propos sur la pédophilie. Dans l’ouvrage « True and False Allegations of Child Sex Abuse » auteur affirme que la pédophilie une pratique de survie pour l’espèce humaine.
Dans cette étude des theses de Gardner, on peut lire (1992, pp. 18-32) qu’il a élaboré sa propre théorie sur les bénéfices, du point de vue de l’évolution, des pratiques sexuelles déviantes, qualifiées de paraphilies. Selon lui, plusieurs comportements sexuels humains particuliers, dont la pédophilie, le sadisme (sexuel), la nécrophilie (la sexualité avec des cadavres), la zoophilie (la sexualité avec des animaux), la coprophilie (la sexualité impliquant la défécation), la klismaphilie (la sexualité impliquant des lavements) et l’urophilie (la sexualité impliquant l’urine), peuvent être considérés comme utiles à la survie de l’espèce.