Il n’ y a qu’une tantouze (Aragon) qui peut dire que la femme est l’avenir de l’homme .


c’est le contraire qui est vrai :l’homme est l’avenir de la femme (c’est le titre d’un livre d’une femme écrivain)


la femme (homme-femelle) est un homme mutilé( le vagin est un pénis éclaté génétiquement dont le clitoris est un bout restant et produisant un orifice pour l’enfantement) avec un corps déformé pour pouvoir être enceinte et enfanter selon la nature primitive de l’homme qui est encore dans période animalière de son histoire de l’hominisation


ceci-dit ce n’est pas pour autant qu’il ne faille pas chercher l’idéal de l’égalité mais cette égalité ne peut se faire que par le haut et donc en respectant la nature et tous les caractéristiques de l’homme complet féminin et masculin ,car il ne faut pas confondre les caractères mâles et femelles et les caractère féminins et masculins ;tous les êtres humains ,homme-mâles (homme) ou hommes- femelles (femme) possèdent les deux caractères fondamentaux du masculin et du féminin(yin et yang) en proportion variable et diverse suivant les individus,sinon ce ne serait pas viable ou serait un monstre .

 cette égalité ne sera atteinte que lorsque l’évolution de la nature humaine aura atteint un certain degré de perfectionnement et que le progrès de la science un certain niveau qui lui permet d’élever de réparer et de prévenir les défauts et les incomplétudes dela nature primitive de l’homme-femelle avec par exemple la création d’un utérus extérieur et la transformation possible du corps de la femme en corps d’un homme complet dans un environnement historique où les dangers et les menaces de l’univers environnemental aussi bien physiques que psychiques sont écartés ou éliminés
 

mais pour le moment il faut respecter la nature ,les caractéristiques et les compétences respectives des hommes et des femmes sans nier leur différence ;et par conséquent le principe de la parité comme celui de la discrimination positive doit être écarté ,seul s’impose absolument le principe de compétence comme le stipule la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789.