Très juste constat d’analyse de la politique menée par la meute d’enragés envers les services publiques de l’Etat.
Le plus triste dans cette affaire est que lorsque ces services auront été définitivement réduit à une peau de chagrin destinée à la frange la plus démunie de la population - je pense au système de santé ou à l’éducation en particuliers, version à ’l’Américaine’ selon Sarko, c’est à dire au profit des intérêts privés - nous pleurerons sur notre sort, nous les gueux ...
Détruire tous les acquis sociaux de l’après guerre : voilà le programme, le fil conducteur de ce que d’aucuns qualifient par manque de discernement de’ délire Sarkozyste’. Ni plus ni moins ! Si dans la foulée les ’amis’, j’entends les ’méritants adoubés par la félicité’, peuvent se voir récompensés, après tout ce n’est que dans la logique des choses ...
A vomir, cela est à vomir. Mais le plus étonnant est bien de constater jusqu’à quel point le bouchon peut être poussé sans que de réaction majeure ne se produise.
Par exemple, et même si il est évident que la France n’est pas la Tunisie : il aura apparemment suffit qu’un type s’immole par le feu en Tunisie pour que le vase déborde pour de bon, alors qu’ici ce genre de ’démonstration’ .... rien. Or mis les habituelles lamentations télévisuelle à connotation émotionnelles bien sûr. Pourtant ces derniers temps, des suicides particulièrement symptomatique d’un malaise profond par leur dimension ’spectaculaire’, il y en à eu un certain nombre. Et celui, récent, de cette enseignante m’interpelle tout particulièrement de ce point de vue.
Razzara