Il ne faut pas en vouloir aux Juifs qui comptent de regarder avec un certain mépris amusé les goyim qui s’étripent sur la question du clivage sionisme/anti-sionisme, les goyim sionistes et les goyim anti-sionistes. Car les Juifs qui comptent (naturellement, dans tous les sens du terme) connaissent bien entendu bien mieux leurs classiques que les goyim sionistes et les goyim anti-sionistes et savent donc que l’un des pires moments de l’histoire ancienne du peuple hébreu fut celui où Cyrus leur donna l’autorisation et, même, les força à revenir s’installer dans la « Terre Promise », ce pauvre bout de terre asiatique aride. A Babylone, les Juifs avaient fait de florissantes affaires et n’’aspiraient qu’à faire encore mieux, conformément à la promesse que leur avait faite leur dieu. Avant la diaspora, la société juive était divisée entre riches et pauvres, tout comme l’URSS et, de plus en plus, comme les sociétés européennes aujourd’hui. La diaspora permit aux Juifs riches de s’enrichir encore davantage et aux Juifs pauvres (cf. Sombart, « Les Juifs et la vie économique »). de devenir de bons bourgeois avant l’heure.

2500 ans plus tard, 2500 plus tard si l’on en croit la chronologie papalo-scaligerienne établie au seizième siècle, les Juifs qui comptent ne résident pas à Jérusalem, mais à New York, à Moscou, à Canberra, à Los Angeles, à Helsinki, à Dublin, à Neuilly-sur-Seine, etc., et se gaussent des petits goyim sionistes et des petits goyim anti-sionistes qui s’étripent sur cette question..

Pour le bien de l’Europe et, accessoirement, pour leur propre bien, il serait bon que les Juifs qui sont actuellement aux commandes de ce qui peut bien rester du continent européen retournent en Israël, conformément aux consignes bibliques de Jéhovah. Cela libérerait tout de suite des emplois, notamment des emplois de ministres, de hauts fonctionnaires, de banquiers, de commerciaux, de « chefs d’entreprise », de « chanteurs », d’« artistes », etc.

Philippe IV de France fut l’un des premiers à leur lancer gentiment un avertissement il y huit siècles.

Le clivage sionisme/anti-sionisme est, sinon LA fumisterie de l’histoire, du moins une des grosses fumisteries de l’histoire et un grand nombre de Juifs doivent se marrer