Démagogique.
L’état un bateau sans capitaine.
Privatisons a marche forcée ce bordel qu’on appelle l’ANPE.
Des salariés califes à la place du calife.
Un résultat lamentable en matière de placement de chômeurs.
Confusion entre « service social » et « bureau de placement ».
Une fonction publique dénaturée par une pensée gauchiste et politisée jusqu’à la caricature de l’impuissance publique.
Dilution des responsabilités, incohérences, redondances, informatique d’un autre age, sur-effectifs.
Inefficacité et pour résorber le chômage.
Au niveau européen, le placement des chômeurs a été privatisé et soumis à la concurrence dans la plupart des pays. En Allemagne, en Suède, au Danemark, aux Pays-Bas ou en Grande-Bretagne, le sans-emploi a la possibilité de choisir entre plusieurs organismes privés. En Grande-Bretagne par exemple, les job centres décident du versement des indemnités de chômage.
En d’autres mots, une aide active et un contrôle renforcé. Les agents des job centres ont une formation commerciale, sont embauchés sur contrat de droit privé et souvent récompensés selon leurs performances. Le placement d’un chômeur dans une région sinistrée ou un secteur en difficulté peut ainsi être primé : l’employé touche un salaire plus élevé et des primes en conséquence.
Victime de la sclérose administrative, le « service public » du placement des chômeurs en France nécessite des changements radicaux.
En commençant par la privatisation et l’ouverture à la concurrence. C’est dans l’intérêt des chômeurs.