Pfiou !
Georges Yang écrit : "Et tout ce petit monde applaudit les révolutions arabes, comme s’il n’y
avait pas des morts dans ces pays. La révolution n’est pas un jeu vidéo,«
Nous sommes comme des spectateurs devant une émission de téléréalité, et nous applaudissons là où on nous dit d’applaudir : parce que ce que nous savons de ces événements c’est ce que la machine à décerveler nous en dit.
Yang écrit : »Pauvre France de Bisounours plaintifs et geignards qui veut le beurre et l’argent du beurre et par-dessus le marché, qu’on lui fasse crédit.«
Non, ce sont les banquiers qui ont le beurre et l’argent du beurre, par les crédits qu’ils nous imposent, via leurs complices les politiques : on ne sait plus qui, du prêteur ou de l’emprunteur, a le plus besoin de ces dettes ! Les banques prêtent aux États qui donnent aux banques (l’argent des contribuables).
Ceux qui veulent le risque zéro, ce sont ceux qui font métier de faire de l’argent qui rémunère le risque ! Un comble : quand ils perdent, ils ’socialisent’ leurs pertes.
On en est à un point de pratiques incestueuses dans les échanges, que, hier, J-L Bourlanges dans l’émission de P.Meyer (France Culture, 11H-12H), parlant des États, évoquait ces prêteurs qui n’étaient pas solvables » ! sic ! Ne me dites pas que c’est un lapsus : le contexte était sans ambiguïté là-dessus.
Qui ici, a jamais entendu parler de prêteurs insolvables ? Ces types en sont à un point d’intoxication verbale qu’ils ne savent plus ce qu’ils disent. Et ce sont ces gens qui nous font le spectacle !!!
Qui est Georges Yang ? L’un des leurs ?! Ou un âne !?
Les communistes disaient « Donne moi ta montre, je te donnerai l’heure ». Les banquiers nous disent : « donnez moi votre argent, je vous le prêterai » !