Né de l’autre côté (coup de poing presque chaque jour parce que j’étais un sale bâtard) mais ayant vécu ensuite de ce côté (munissant alors mes enfants de toutes sortes de protections contre les chutes en roller), j’ai tendance à comprendre les deux positions en étant comme constamment disposé à l’une ou l’autre formule, selon les circonstances.
Je trouve que cette piqûre de rappel de la part d’Ylang nous est indispensable.
Mais attention à bien jalonner la voie du coup de poing. (Celle de Ribière Vs Defferre étant très correcte)
A ce que j’en sais, mis à part une fois où il se serait servi d’un cendrier (ce qui peut tuer s’il est lourd), Samir Nacéri n’a jamais utilisé d’arme, ni ne s’est planqué en embuscade ni ne s’est ensuite enfui. Enfin, il aura toujours cogné sans préméditation, (sans esprit de vengeance) seul et de face. Contrairement à beaucoup de journalistes pros ou en herbe de notre époque, il n’aura jamais été intéressé par le lynchage d’une personne en coagulant des masses contre elle
Or, il suffirait de modifier quelques détails par rapport à ce cas de figure et on se retrouverait dans la lâcheté.
Le coup de poing oui mais il est important que ça se passe dans des conditions les plus proches possibles du duel loyal avec RDV dans le pré pour le lendemain (Rage et colère diminuant alors)
Sinon, concernant les générations plus jeunes, tous ne sont pas des lâches. Il n’est qu’à voir ceux de Geenpeace ou ceux qui occupent WS