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Commentaire de schuss

sur Vaccination anti-HPV : les ministres sur la défensive


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schuss 21 octobre 2011 00:04

bonsoir,
je suis surpris mais heureux de voir des médecins qui osent enfin contredirent la propagande officielle. c ’est courageux !
pour ma part je ne suis pas médecin bien que « clinicien » depuis 15 ans déjà. J’en ai vu des gens arriver dans mon cabinet, tout patraque après un vaccin. La médecine officielle niant l’implication du vaccin incriminé, ces personnes n’avaient d’autres solutions que de consulter les praticiens alternatifs pour comprendre ce qu’il leur arrive. C’est pourquoi, l’esprit libre et non formaté par l’industrie, j’ai pu me faire une idée assez juste sur les conséquences nombreuses des suites de vaccins... en 15 ans, l’eau coule sous les ponts...qq exemples ;
Le vacciné de la grippe qui réagit vigoureusement à l’injection et qui finalement fera la grippe 1 mois plus tard sans atténuation. vu des dizaines de fois.
Le bébé qui arrive tout tordu le lendemain d’une injection contenant notamment l’hépatite B, alors que son jumeau n’a rien manifesté  !
Les personnes atteintes de l’ hépatite B après le vaccin du même nom. Des dizaines de fois.
Les bébés mal en point, avec bronchite, toux, fièvre le lendemain de la vaccination néonatale alors qu’ils allaient bien  ! je les compte plus !
Et tous ces ados, vaccinés bébé contre la rougeole qui déclarent la maladie avec une force terrible et des effets secondaires plus prononcés et plus risqués que chez le nourrisson !
Devant toutes ces manifestations aberrantes , impossible de rester ignorant .
La vaccination de masse met en danger celui qui reçoit l’injection , tôt ou tard !
Le reconnaitre ce n’est pas renier la médecine , bien au contraire. voir le ver dans le fruit permet de sauver ce qui est juste et jeter la pourriture.
Si le praticien se contente de prescrire des examens et des pilules , il devient prescripteur pour le compte de l’industrie et les labos. Il est alors dépossédé de son art, car la médecine n’est pas une science mais un Art . Pour sauver la médecine le prix de la consultation devrait être fortement revalorisée (doublée) afin que le praticien ne botte pas en touche vers des examens complémentaires chaque fois qu’il manque de temps pour comprendre son patient. A coup sûr ,la sécu ferait des économies . Résultat garanti . Nous, praticiens alternatifs pratiquons de la sorte avec beaucoup de succès . Nous ne prescrivons quasiment aucun examen complémentaire pour assurer la réussite de notre démarche thérapeutique. Si nous y arrivons, les médecins peuvent également le faire. Seulement voilà, les grands perdants à ce jeu là ce sont les labos et l’industrie qui ne piègent plus les dépenses secondaires associées généralement à la consultation . L’industrie et les labos ne veulent pas perdre la manne financière que cette juteuse organisation de la santé leur réserve.
Il faut revenir au fondamentaux : En premier, privilégier la clinique au détriment des examens complémentaires qui sont réservés à la confirmation du diagnostic , le cas échéant car ce n’est pas toujours nécessaire. La santé y gagnera et les thérapeutes aussi.


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