les contraintes sont liée a notre forme, nécessitant une énergie extérieur. il en va de même pour n’importe quelle machine synthétique. cependant les deux n’ont pas les même besoins. (par ailleurs actuellement la biologie est plus efficace énergétiquement) ceci me sert a expliquer que pour une grande part nos besoins sont avant tout ceux de notre corps, et que par conséquent les contraintes sont celle d’un certain type de corps.
il existe une différence entre le gorille et l’humain, c’est la consommation énergétique du cerveau, qui a une incidence directe sur son régime alimentaire. c’est parce que notre cerveau a besoin de beaucoup de calorie qu’on mange de la viande (accessoirement a la base, aussi pour avoir des peaux pour se couvrir et de la graisse pour s’engraisser), c’est aussi parce qu’on a cuit la viande que nos muscles de la mâchoire se sont atrophier exerçant moins de pression sur le crâne, permettant a son tour (de nouveau) la croissance de notre cerveau.
l’un appel l’autre et vis versa. tout individu répond a son environnement puis influe sur celui ci, son environnement étant constituer d’autres individus qui eux aussi lui répondent, et ainsi de suite. quand l’homme change, ses besoins changent.
nous ne planifierons probablement pas notre évolution (involution ?) naturelle, mais nous nous orienterons artificiellement. nous le faisons déjà. nous compensons notre stagnation (relative) évolutive par une débauche culturelle d’abord et technique ensuite. nous avons « externatliser » notre évolution depuis déjà bien longtemps.
le marché n’est qu’un artifice pour dominer le faible, un pouvoir féodal et inquisiteur, qui n’aura pas court au sein de cette humanité-technoscientiste là puisqu’elle aura échappé a l’humanité-archaïque.
je ne dis pas ni y être favorable, ni y être opposé. ça adviendra et ça m’indiffère.