Commentaire de ROBERT GIL
sur Crise systémique : le mythe des banques (la fin de l'économie)
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La dette publique marque de son empreinte le capitalisme. La seule partie de
la prétendue richesse nationale qui entre réellement dans la propriété collective
des peuples modernes, c’est leur dette publique. Il n’y a donc pas à s’étonner
de l’idée que pour la classe dominante, plus un peuple s’endette, plus il
s’enrichit. Le crédit, voila le credo du capitalisme .....
http://2ccr.unblog.fr/2011/01/07/la-dette-publique-et-la-bancocratie/
Derniers commentaires
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26/10 10:11 - Ronald S.
« (...) 33 sociétés transnationales (essentiellement des organismes financiers contrôlent donc (...)
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26/10 08:51 - Jason
@ Pierre JC Allard En ces périodes de crise, je crains plus les tentations bonapartistes et (...)
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26/10 07:43 - rhea 1481971
Que l’homme soit un prédateur pour l’homme cela a été écrit dans les années 1970 (...)
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26/10 00:34 - Pierre JC Allard
@jason La seule chose qui soit plus forte que l’argent, c’est un fusil. Et ça ne (...)
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26/10 00:22 - Pierre JC Allard
« Le crédit, voila le credo du capitalisme ... » Bien sûr. Quand l’auteur Gilles Bonafi (...)
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25/10 23:35 - babaro
@l’auteur j’ai voté non à l’article. Non pas que votre analyse soit fausse (...)
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