Commentaire de Marcus Clams
sur Crise de la dette, diagnostique et perspectives
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Effectivement, il peut arriver un moment où le poids de la dette asphyxie complétement le pays.
Néanmoins nous n’en sommes toujours pas là. Le déficit en 2010 était d’environ 130 milliards, et le poids des intérêts de la dette d’environ 55 milliards.
Les citoyens ont donc été épargnés en 2010 de 75 milliards d’Euro. Ils sont donc encore bénéficiaires (en moyenne, les plus riches étant favorisés, 1 : ils payent moins d’impôt, 2 : ils touchent les intérêts de la dette).
Derniers commentaires
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28/10 10:03 - Marcus Clams
* On a pas le sentiment que la Suède soit très en retard socialement sur la France. Curieux (...)
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27/10 09:45 - eric
Merci pour votre réponse. Donc vous savez et ce n’est que de l’argumentation (...)
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27/10 00:19 - Marcus Clams
Il me semble que deux notions sont mélangées. Un gouvernement mène une certaine politique, en (...)
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25/10 22:56 - eric
D’habitude j’arrive assez bien à distinguer ceux qui profèrent ces platitudes sans (...)
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25/10 22:45 - Marcus Clams
Et bien non, puisque ces plans d’aide sont en réalité des centaines de milliards qui (...)
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25/10 22:38 - logan
La dette publique ne finance pas « essentiellement » qqchose vu qu’elle est générée par (...)
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