Il y avait dans la conférence de presse du président Sarkozy plus de substance que d’habitude. Admettre la nécessité d’une vraie austérité et le surendettement de la France n’était pas facile d’autant plus qu’il refusait d’accepter qu’il est responsable d’une hausse de l’endettement d’environ 500 milliards d’euros, soit près de 50 %. S’il a admis avec sobriété la gravité de la situation, il n’a pas accepté les conséquences de ce diagnostic et s’est dérobé aux questions des journalistes qui ont - en vain - essayé d’extraire des décisions concrètes et un calendrier.
Cet aspect positif ne permet cependant pas de prendre des libertés avec la vérité. J’ai relevé une douzaine de contre-vérités :
Ce genre de contre-vérités est à l’origine de l’engouement des Bourses sur le secteur bancaire. Une fois l’euphorie passée, le soufflé va retomber. Reste la substance des problèmes auxquels il est urgent de s’atteler. La prime de risque (CDS) sur les obligations grecques à 5 ans est de 35 %. Le sommet n’a pas passé le test de la crédibilité. C’est dommage.
Blog de Georges UGEUX , banquier d’affaires...
31/10 09:34 - wesson
précision utile ! je m’ait trompé de conseil (si vous me pardonnez ce (...)
31/10 09:27 - Gaspard Delanuit
31/10 08:50 - Bibi32
La vache, je n’arrive même plus à supporter notre Président plus de 30 secondes, avec son (...)
31/10 02:25 - Parakle
Ras le bol du caporal-président de l’UMP ! Cet article pue de trop ... mais (...)
31/10 00:02 - P. PICARD
Je trouve que le plus savoureux dans le discours de Sarko aura été : « J’ai eu la (...)
30/10 23:39 - quid damned
Je n’ai plus réagi depuis longtemps à un article de M. S Rakotoarison. Car à la fois un (...)
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