@ Alexis_Barecq
Entièrement d’accord avec vous, mais qu’elle chance avons nous d’atteindre une telle démarche approuvée par une majorité de nos concitoyens ?
L’avantage de cet article, est qu’il nous propose une réforme qui pourrait faire le lien (chez les gens de bonne volonté) entre deux conceptions différentes de l’économie sans s’opposer brutalement à chacune d’elle. Même le monde honni de la spéculation, du moment qu’elle ne rime pas avec tricherie, et qu’elle s’adresse à l’épargnant de base, pourrait y trouver son compte en clarifiant la donne sous deux entités bancaires différentes. L’avantage qu’en tirerait l’état, c’est à dire l’ensemble des citoyens, serait immédiat : "
Sous le système 100%, la création et la destruction de monnaie
seraient totalement déconnectées du crédit bancaire. Ainsi, un
désendettement conjoint des ménages, des entreprises et des Etats serait
possible sans disparition des moyens de paiement ni déflation".
Le grand mérite de cette réforme, dont les conséquences seraient éminemment bénéfiques, est qu’elle peut s’établir indépendamment des projets politiques toujours clivants.
Le problème de sa réalisation vient davantage du fait de l’opposition évidente du monde de la haute finance à toute modification du statu-quo actuel qui lui est favorable et qu’il a lui-même imposé par la ruse*. Le pouvoir écrasant des méga-banques privées sur les états et leurs dirigeants est tel que ceux-ci ont perdu toute indépendance jusqu’à ne plus pouvoir œuvrer pour le bien commun. L’exemple de la Grèce et son renoncement au référendum est à cet égard, emblématique.
Merci à l’auteur pour l’exposé remarquable de cette réforme. (On peut toujours rêver qu’elle puisse un jour, être appliquée.)
P.S : * et maintenu par la terreur
http://liesidotorg.wordpress.com/2011/07/30/a-lincoln-et-j-f-kennedy-deux-opposants-au-%C2%AB-systeme-de-la-reserve-federale-%C2%BB-%E2%80%A6-ils-furent-tous-deux-assassines/