Evidemment cette loi est le centre du problème ! nous
sommes nombreux ici (sur Agoravox) et ailleurs sur le net à évoquer le problème
depuis de nombreuses années… et le silence médiatique n’est pas fortuit ou innocent !
la collusion entre les sphères du pouvoir politico-financier et médiatique n’est
plus à démontrer.
Je crois qu’il est plus que temps de créer un mouvement
citoyen qui exige l’abrogation de cette loi scélérate !!
Traité de Lisbonne, article 123 : le coup d’état de la
finance
http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/traite-de-lisbonne-article-123-le-75113
Argent dette : Unissons nos indignations pour exiger l’abrogation
de l’article 123
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/unissons-nos-indignations-pour-103363
Citations (du document la MONNAIE !)
Le jugement éthique porté sur le mécanisme du crédit
bancaire s’est profondément modifié au cours des siècles. (...)A l’origine, le
principe du crédit reposait sur une couverture intégrale des dépôts. (...) Ce n’est que vers le 17ième siècle, avec l’apparition des billets de
banque, que les banques abandonnèrent progressivement ce principe. Mais ce fut
dans le plus grand secret et à l’insu du public . Par essence, la création
monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à
le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la
fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la
loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que
ceux qui en profitent sont différents
« La crise mondiale aujourd’hui », Maurice Allais, Prix Nobel de
Sciences Economiques 1988. Ed. Clément Juglar 1999. Les mécanismes actuels
du crédit reposent sur des bases en très grande partie irrationnelles, dont
l’origine historique est tout à fait empirique, qui n’ont jamais cessé de se
révéler très dommageables et qui n’ont jamais été pensés très sérieusement sauf
par une minorité d’économistes, et cela aussi bien en France que dans les
autres pays d’Europe occidentale et aux Etats-Unis. Maurice Allais
soutenant un plan de couverture intégrale dans « L’impôt sur le capital et la réforme
monétaire » en 1977.
Marc JUTIER