Marco Ferrouge, tu as vraiment l’air d’avoir un QI faible.
J’explique que la vie d’un salarié français ressemble plus à la vie d’un salarié chinois qu’à celle d’un bourgeois français. Or, précisément, le salarié français et chinois ne mangent pas la même chose, ne regardent pas les mêmes programmes à la télé, n’écoutent pas les mêmes musiques, n’ont pas la même langue, pas la même religion, etc.
Grosso Modo : les particularités nationales ressemblent à ce que l’on appelle une ’skin’ en informatique. Ce sont juste des détails décoratifs qui ne touchent pas à l’essentiel : de l’huile d’olive ou du beurre ; de la moutarde ou du curry ; le Bon Dieu ou Vishnou... Se concentrer sur ses détails, c’est être ’idéaliste’ ; c’est à dire s’intéresser plus aux idées qu’au monde matériel.
Par contre, la fonction sociale elle est matérielle. Le rôle joué dans l’appareil de production (salarié ou actionnaire) détermine directement le style de vie. Tous les salariés au monde ont des vies à peu prêt similaires et des problèmes communs : On se lève le matin, on va créer des richesses pour ses employeurs toute la journée, on essaie de se divertir un peu, on dort, et on recommence.
Vous êtes des prolétaires avant d’être des français. Votre nation est le prolétariat avant la France. Notre union pour lutter contre l’Oligarchie doit être internationale.