Paul Cuxach a raison. On peut ajouter que les jeux de loteries et paris
organisés par l’État sont un impôt masqué qui pèse majoritairement sur
les classes de plus faibles revenus.
Parfaitement exact !
Certains ne se privent pas de l’appeler ’l’impôt sur la connerie’
Enfin, on ne vit que d’espoir... Si vous gagnez deux euros par jour, vaut-il mieux acheter un pain ou les jouer ? Choix difficile !
On peut en probas facilement calculer l’espérance de gain de chaque joueur, la formule est simple et traîne dans tous les manuels de maths. cette espérance, est nettement inférieure à la mise. ainsi tout joueur est statistiquement perdant, la différence sert à alimenter les caisses de FDJ et les caisses de l’Etat. dans tous les jeux de hasard il devrait être obligatoire de rendre publique cette espérance sur tous les lieux de vente.
Extrait de Wikipédia :
Selon le rapport annuel 2006 de la française des jeux, les mises sont redistribuées aux joueurs à hauteur d’un peu moins de 60 % du chiffre d’affaires. Moins de 29 % de ces ressources sont allouées aux finances publiques et à la couverture des risques. Enfin plus de 11 %
reviennent à l’organisation des jeux. Le taux de commission de
l’organisation des jeux est fixé par l’État, et baissera progressivement
de trois points depuis 2002 pour atteindre environ 10,5 %
en 2008, même si les montants respectifs n’ont pas suivi cette
diminution compte tenu de la croissance du chiffre d’affaires (plus de 27 % entre 2002 et 2006)
Ce que l’auteur propose, c’est ni plus ni moins, d’augmenter encore la part de l’impôt de façon indirecte par une redistribution forcée.
Ce qu’il faudrait faire au contraire :
Interdire à l’état de profiter de la faiblesse des plus pauvres en suçant encore leur pognon.
Désolé Fergus, nous sommes souvent sur la même longueur d’onde, mais pas cette fois.
Amicalement.