9/ Expliquer clairement aux pays d’origine que nous ne pouvons pas accueillir toute la misère du monde, les associer à notre politique de régulation, avec diplomatie si c’est possible.
J’ai plussé votre commentaire, car je suis entièrement d’accord, sauf avec la phrase n°9.
Car je trouve que c’est un juste retour des choses, si pendant, disons 60 ans nous subissons une immigration de la part du continent africains, après plus de 500 ans de présence française criminelle dans leurs pays d’origine. Les problèmes des Africains viennent essentiellement de nous, enfin devrait-je des élites bourgeoises qui dirigent notre pays ! Il ne faudrait pas oublier que sur toutes les histoires tragiques concernant un pays francophone, des politiciens politiciens ont été mis en examen pour leur participation occulte, comme pour le Rwanda. Il ne faut pas oublier que durant le 19e siècle, les Européen ont effectué des découpages sauvages du continent Africains, après avoir pillé les pays en hommes avec la traite négrière ! Il ne faut pas oublier le lourd passé, et même le présent :
Des ingénieurs français de la société Areva, selon les médias, sont pris en otage par Al Qaida maghreb Islamique au Niger. Or il se trouve que cette histoire n’a rien à voir avec Al Qaida. Il s’agit de paysans qui se révoltent. Ils luttent contre Aréva depuis plus de 20 ans, qui exploite l’Uranium dans leur contrée. Ces paysans n’arrivent à plus rien faire pousser, à cause de la radiocativité développée par l’exploitation, et aussi par l’assèchement des nappe fréatiques : Pour extrait l’uranium, il faut de grandes quantités d’eau. Ils ont des enfants malades, des femmes et des hommes qui meurent prématurément, et ils se battent pour cesser ce désatre écologique et la famine ! Mais en France, on s’en contrefiche. Même ici, je n’ai lu mot là dessus. Les militaires français s’occupent de pacifier toute forme de contestation.
Alors je veux bien dire qu’on ne peut accueillir toute la misère du monde, mais la misère causée par nos dirigeants, oui, il faut s’en occuper. Et d’urgence !