Eva Joly n’abandonne pas. Elle tente un coup extrêmement gonflé.
Le JDD : « Entre eux, ils appellent ça »l’opération Baden-Baden" en souvenir de ce
29 mai 1968 où le général de Gaulle avait disparu, fuyant Paris, sans
que personne ne sache où il était. Eux ? La petite équipe d’Eva Joly, ses
deux directeurs de campagne, Sergio Coronado et Stéphane Sitbon, et
leur complice Patrick Farbiaz. Eva Joly n’a pas dévoilé à son équipe le
nom de son « Baden-Baden ». Elle échange essentiellement avec Sergio Coronado,
qui lui a fait gagner la primaire et qu’elle continue à vouvoyer. Les
autres, presque tous les autres, dont son porte-parole Yannick Jadot,
elle ne leur répond pas.«
Elle continue !
Métro : “La candidate à la présidentielle n’est pas tenue et pas liée par le texte [de l’accord ¨PS- EELV]”, martèle Sergio Coronado
Les Echos ; »La candidate écologiste ne se sent pas liée par l’accord signé par
Europe Ecologie-Les Verts avec le PS. Quoi de plus gaullien que cette
posture de la candidate seule face au peuple méprisant la « tambouille »
des partis, fût-il le sien ? "
Eva Joly donnera des entretiens dans Libération et au “20 heures” de France 2 ce mardi, avant un déplacement en Bourgogne jeudi.
Gonflé ! Mais cette position sera-t-elle tenable ? Cette campagne risque de devenir passionnante !