vous êtes à ce point aveugle depuis quand une emotion se soigne par des médocs depuis quand les faiblesses du mentale se soigne par des médocs ah oui depuis que vous pensez que les émotions sont une affaire de cerveau sauf que c’est juste une théorie non prouvé, bientôt vous allez croire que c’est génétique, la folie, que c’est génétique d’avoir un qi bas etc...
vous voyez sans le savoir vous acceptez des idées nazies....et si vous connaissiez ne fusse qu’un peu cette période vous verriez qui en sont les fondateurs les mêmes qui au cours du 20eme siecle tuerent par millions des gens je me demande comment vous pouvez vous regarder dans le miroir et défendre la lobotomie les électro chocs et les médocs qui vous tuent
L
avages de cerveaux financés par la CIA
Date de diffusion : 5 octobre 1988
Entre 1956 et 1963, le docteur Ewen Cameron, psychiatre et directeur de l’Allan Memorial Institute de Montréal, effectue des traitements de « déprogrammation » du cerveau sur des patients atteints de diverses formes de maladies mentales. Le programme est financé par la Central Intelligence Agency (CIA) et soutenu par le gouvernement canadien de l’époque.
Après 30 ans de silence, l’agence de renseignements américaine consent à dédommager neuf Canadiens, qui se partagent 750 000 $. La journaliste Pauline Vanasse s’entretient avec le psychiatre Pierre Lalonde, qui rappelle les expériences réalisées par le docteur Cameron sur ses patients.
En 1951, en pleine guerre froide, des représentants de la CIA et un groupe de psychiatres se seraient retrouvés à Montréal pour préparer le projet « Blue Bird », qui devait servir à l’élaboration de techniques de lavage de cerveau, de conditionnement, de persuasion, de propagande et de contrôle psychologique des masses et de membres d’organisations. Le docteur Cameron, ancien colonel de l’armée américaine, reçoit 25 millions de dollars de Washington pour procéder à des expériences sous le couvert de traitements thérapeutiques.
Au cours des traitements, les patients sont soumis à des chocs psychiatriques extrêmes. Sous l’effet de barbituriques et de LSD, les sujets sont abrutis par des messages enregistrés à répétition. Ils subissent des doses massives d’électrochocs, un sommeil prolongé de plusieurs jours, des douches chaudes ou glacées.