@ Docdory
1. J’ai suivi votre lien, ce qui m’a obligée à faire défiler plus de 700 commentaires, et quelques-uns que j’avais écrits et qui disent quasiment mot pour mot ce que je dis ce jour et sous ce fil, à ceci près que pas mal d’entre eux répondent plutôt à des accusations de racisme et à des défenses du fondamentalisme. Donc plutôt que vous représenter CD ici présente ou CF en « anciennes alliées passées à ’l’ennemi’ par le fil de l’épée du ’politiquement correct’ », vous devriez plutôt relire les arguments que vous envoyez parce qu’ils vous jouent des tours. Seul changement : à l’époque, j’avais encore quelque estime pour M. Hilout.
Donc à propos de girouette, je vous encourage à plus de sérieux dans vos récriminations. Et je passerai sur l’insulte, parce que je n’ai pas besoin de ça.
2. Les « Assises », vaste fumisterie qu’il ne fallait pas interdire, mais laisser se dérouler dans l’indifférence la plus complète, avec leurs homologues en creux de Forzzane dehors.
3. Mais pourquoi on me ramène toujours à Caroline Fourest, dont je ne partage pas l’orientation politique, militante et sexuelle ?
4. Accuser C. Fourest de s’être trouvée au même endroit et au même moment que les salafistes limousins, c’est vraiment pas fair play. Ou alors, accusez les catholiques et les militants de RL qui ont manifesté avec Forzanne devant le Théâtre de la Ville d’être de mèche avec eux dans le Grand Complot islamiste qui menace la France éternelle.
5. Arrêtez avec votre « juste action ». Déjà en 2007 je me prononçais pour deux menus, relisez votre fil. Et déjà je n’avais qu’une envie, aller me balader et balancer l’humour de Cécile Martin, prémonitoire hélas.
6. Sans compter que j’ai horreur des moriceries qui consistent à fouiller en archives et à accuser les contradicteurs de je ne sais quelle post-trahison ou pré-critique.
7. Je ne vous critique pas « vertement », je vous mets en garde car vous glissez sans en avoir conscience sur une pente qui n’est pas la vôtre, si mes souvenirs sont bons. Donc j’y reviendrai dans quelques instants.