Michel Taubmann avait déjà préparé son coup, pour salir Nafissatou Diallo liée à une organisation, , pour la faire passer une menteuse faute de pouvoir la faire passer pour une prostituée.
Les membres de la sécurité, ont pu se réjouir de voir Strauss Kahn payer de son impunité, ils ont le droit de s’être réjouis que cette affaire plombe Strauss Kahn pour Sarkozy (chacun ses goûts)
Strauss Kahn aurait pu être surveillé, puisque son nom apparait dans l’affaire de proxénétisme du Carlton, ou pour être anéanti par ses ennemis. En retirant une batterie d’un téléphone, l’appareil n’est plus repérable.

Des services ne lancent pas un complot en prenant pour appât une femme proche d’un homme incarcéré.
Michel Taubman et Edward Epstein ,nous prouvent l’ampleur « des réseaux »,pouvant investir les médias, pour mener des opérations de déstabilisation, pour  manipuler les masses en étouffant le fond un viol .
 Le livre écrit par Cassandre,« DSK les secrets d’une présidentielle », boycotté à sa sortie, nous montre un pan de l’organisation de ces déstabilisations dans les médias.
 Ces gens là sont prêts à détruire une femme victime d’un viol, pour blanchir leur ami le décrit comme un partouzeur sado maso, obsédé, forçant même les prostituées !
Sans compter l’argent que Taubman, sorti de nulle part promu consultant pour la chaîne américaine NBC,va gagner avec son livre.
Dominique Strauss Kahn et Anne Sainclair insistent lourdement, par le biais de leurs réseaux, pour se déresponsabiliser et anéantir Nafissatou Diallo.
 ils n’ont pas compris que plus ils insistent, plus ils nous répugnent !!

http://www.parismatch.com/Actu-Match/Politique/Actu/Michel-Taubmann-le-justicier-de-DSK-crie-au-complot-328597/

Michel Taubmann n’est pourtant pas l’avocat de l’ex-patron du FMI, mais son... biographe. Il assume. Il est même allé jusqu’à dire qu’il aurait peut-être agi comme lui... «  Ma femme m’en a beaucoup voulu. Mais je l’ai dit d’autant plus ­facilement que je ne l’aurais pas fait. Il ne faut pas confondre la morale et le droit. DSK n’a pas commis de crime. »

A 55 ans, l’auteur du « Roman vrai de Dominique Strauss-Kahn » (éd. du Moment) ­récuse les insinuations qui feraient de lui le portraitiste officiel : «  Ce livre était une idée de mon éditeur Yves Derai. En 2009, au début de mon enquête, les communicants d’Euro RSCG avaient prévu d’autres ouvrages. Je n’étais pas passé par eux. Ils étaient hostiles. » ­Michel Taubmann ne sort pas de nulle part. Journaliste à France 3, patron du bureau parisien de l’info à Arte avant de se mettre à son compte, il y a trois ans, il fut le directeur de la revue d’inspiration néoconservatrice « Le Meilleur des mondes », à laquelle ont contribué Pascal Bruckner, Olivier Rolin, André Glucksmann... Il a écrit plusieurs documents sur l’Iran, le premier sur une idée du même Yves Derai. « Je le connais depuis vingt ans, confie l’éditeur. Il est intelligent et sérieux. »

Début 2012, il sortira « Building », un bimestriel « politique », aux éditions Armand Colin. Mais depuis le samedi 14 mai, sa grande histoire, c’est DSK. Il a déjà remis à jour sa biographie qui était en vente cinq jours seulement avant le « scandale » : au total, 23 000 exemplaires vendus. Michel Taubmann a mis de côté l’écriture d’un roman « très personnel » pour un futur livre sur l’« affaire ». Devenu consultant pour la chaîne américaine NBC, il promet des éléments inédits sur « ce qui s’est passé, ce que DSK faisait là-bas, ce qu’il a fait la veille, ce qu’a fait le Sofitel... » Et surtout sur Nafissatou Diallo : « Ce n’est pas une simple femme de chambre, assure-t-il. Elle est en contact avec une organisation. C’était prémédité. Mon livre le prouvera. » Pour sa biographie, si Anne Sinclair l’a beaucoup aidé, il n’avait rencontré DSK qu’à deux reprises. Depuis l’« affaire », ils se sont vus déjà quatre fois. Et ce bavard ­découvre la « notoriété ». Visiblement, cela l’enchante.