salut le prof d’anglais !
J’ai également vécu à Chiang Mai. 152 fois le Shutep à vélo. La nature autour de la ville est magnifique. Heureusement qu’il y avait cela car, outre la facilité d’existence quand on a un peu de blé, la vie sur place n’a rien d’intéressant. Stéréotypes débilitants, alcoolisme, amphétamines à gogo, putes mâles et femelles et rien d’autre à signaler., Originalité zéro, culture zéro pointé. Le racisme commence à se faire de plus en plus ouvert : un ami qui s’y est installé m’a signalé que depuis quelques semaines fleurissent des affiches appelant à lutter contre les Blancs qui y ont créé un commerce et viennent bouffer le riz de... on connaît la suite.. Une réaction finalement logique vu la qualité d’ensemble des Farangs - et pas la fine fleur - qui s’y sont installés, principalement du fait que c’est une des villes les moins chères du pays. Schématisons peu, schématisons bien : t’es bon pour payer, te taire et être systématiquement coupable dans quelque situation conflictuelle que ce soit.
Et si tu as le malheur de créer une affaire, on t’accueillera toujours les bras ouverts mais on va te le faire regretter plus tard. Racket omni-présent et flics qu-dessus des lois, tel est le vrai sourire. On dit généralement de la Thaïlande qu’il faut 5 ans pour la comprendre, pour en saisir le vide, la futilité, l’absence de valeurs morales, le tout à l’argent.
Un bordel permanent. Hormis les routes de montagne, je n’en regrette rien.
Cher auteur, je te trouve un peu débile d’y avoir exercé ton métier de prof . Je comprends que tu te sois heurté à un mur, que l’école mène à tout à condition de ne rien y apprendre ! Preuve en est ton article.
Crois-moi, t’aurais dû faire comme moi et choisir le Laos.qui est beaucoup plus accueillant à tous les points de vue.
Sauf les routes pour le vélo....