Attali voudrait bien être le Georges Soros français, vous savez le spéculateur qui protège sa fortune acquise sur des paris financiers par une fondation caritative.
Seulement voilà, il en a guère les épaules, encore moins la réussite avec toutes ses casseroles qu’il trimbale de surcroit. Sarkozy le sait bien mais il n’a personne d’autre sous la main à donner en pâture aux paparazzi qu’Attali l’animal de foire depuis son épisode comme conseiller de Miterrand.
Il n’est a l’Elysée que pour la photo sous le regard gouailleur du président, histoire de se rentabiliser mutuellement. Car sans ses livres soporifiques qui pullulent mais présentent l’avantage de ne jamais arriver les mains vides sur un plateau de télévision, on se demande à quel propos ce personnage pourrais faire parler de lui, hormis les échecs retentissant du président failli et défailli qu’il a conseillé et les divers scandales financiers qui émaillent sa carrière que l’auteur de l’article à si pertinemment rappelé.
Bref chaque fois qu’on parle de cette tête de taupe que personne n’a jamais pris au sérieux sauf quand il s’agit de malversation de l’argent public comme à la Berd, c’est la franche rigolade à propos d’un type dont la seul utilité se résume au remplissage de pages que personne ne lit.