Le dernier wagon…

Dans le cadre du démantèlement de la nation, voulue par une poignée de psychopathes, il restait à faire dérailler le dernier wagon…La problématique de la situation économique qui frappe la planète à ce jour, remonte à une soixantaine d’années. C’est à cette époque que la France à loupé le train… C’est juste à la sortie de la seconde guerre mondiale dans les années cinquante, qu’en toute discrétion s’est décidée la cannibalisation de la planète.

Oosterbeek, petite commune des Pays-Bas, ignore que son seul hôtel va acquérir une réputation mondiale involontaire et empoisonnée. C’est ici qu’à lieu la première réunion du groupe Bilderberg, justement à l’hôtel Bilderberg qui donnera son nom au groupe.

Ce groupe sera la ‘’vitrine légale’’ de l’OTAN. Effectivement, une majorité pense que c’est ce club très secret qui manipule l’opinion mondiale. Alors que c’est l’OTAN qui se trouve en haut de la pyramide et qui tire les ficelles dans l’ombre ( Application progressive de la théorie de la pyramide de Maslow).

 C’est cette organisation qui est la main de l’élection de celui que nous risquons fort de voir accomplir un second mandat encore plus répressif, n’est pas due au hasard, et encore moins aux bulletins de vote…

 Opération Sarkozy : comment la CIA a placé un de ses agents à la présidence de la République française

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Parallèlement la manipulation des populations s’est effectuée de façon lente et progressive avec la complicité constante d’un peuple ignorant. Alors les faits augurés pour l’avenir, qui au lieu de susciter des réactions de révolte, n’ont fait que préparer psychologiquement le peuple à accepter des conditions de vie tendant vers l’esclavagisme.

Il devient donc inévitable que dans le dernier bastion des ‘’acquis sociaux’’ (SNCF), çà rue dans les aiguillages. Le décalage sociétal entre 1936 et aujourd’hui est abyssal. D’un côté, la paupérisation galopante d’une  majorité de la population, et de l’autre le bastion des ‘’privilèges’’ d’un secteur d’activité voulant à tous prix conserver ses avantages.

*Les conducteurs de TGV touchent toujours la prime au charbon… justifiée à l’époque des locomotives, mais dénuée de sens de nos jours.

*Les horaires de travail oniriques.

*Au cours de mon parcours journalistique de pigiste, j’ai eu à effectuer des reportages pour le journal fétiche des cheminots : ‘’La vie du rail’’, et si je livre ici les confidences OFF d’un agent SNCF, Claude R…, c’est qu’il faudrait prendre conscience du montant des gabegies payées par l’imposable dindon.

Pour avoir travaillé à la SNCF pendant quelques mois en remplacement d’un salarié en congés maladie dans un poste du Pas-de-Calais, je peux vous affirmer qu’effectivement il y avait de l’abus au niveau effectif : 8 personnes dans un bureau pour un travail de 3 personnes grand maximum à accomplir. Entre les pauses cigarettes, les pauses café, etc.... le temps s’écoulait lentement. Venant du privé, il me semblait être sur une autre planète...Je ne comprenais d’ailleurs pas comment on pouvait passer des heures dans un bureau sans rien faire...Je n’aurais pas pu tenir plus des 9 mois de mon contrat. C’était un EIMM (Etablissement Industriel de Maintenance du Matériel (roulant)) J’ai connu les grandes grèves de 1995. Tout çà parce que les syndicats s’opposaient à la fermeture de l’établissement qui ne servait plus à rien ! Des années accumulées d’argent publics gaspillés ! Alors c’est sûr qu’aux fils des années, l’économie mondiale étant ce qu’elle est devenue, il a fallu faire un redressement dans tout ce système. Malheureusement passer d’un extrême à l’autre est très difficile à vivre. Peut-être qu’il aurait fallu que chacun fasse des concessions....

Si la forteresse aujourd’hui vacille et que cela ressemble à la chronique d’une mort annoncée, il est inéluctable que l’institution SNCF à tout fait pour que la vie soit duraille…