Nous sommes devenus contrôlables car nous sommes devenus accessibles, grâce aux progrès technologiques en matière de communication et de transport.
Et plus nous sommes accessibles, plus nous avons peur car le système nous met à nu et nous dévoile, nous scrute et nous viole.
Et plus nous avons peur, plus le troupeau se regroupe formant une masse compacte et malléable, c’est l’effet super organisme mis en place par de nombreuses espèces pour lutter contre les prédateur.
Les marginaux sont rejetés par la masse contrôlée.
Le coupable, c’est notre cerveau, infiltré, programmé, manipulé et dompté, avec l’aimable complicité de la puissance médiatique.
Croire que seule la révolution nous sauvera est une chimère en soi car désirée par une petite minorité, encore que.
Première étape de démondialisation de l’individu : se couper du monde de l’information en supprimant TV et radios, tout ce qui peut orienter le cerveau sur des voies fabriquées.
La vraie révolution sera la désocialisation du monde.
Le cancer du monde, c’est la masse.
Et vive Nietzsche ...