Cabanel
Je ne connais que des bribes des « dérives » des politiques français,et des institutions de la république.
Mais que ce soit dans n’importe quel pays européen « du sud » le constat est le même.
j’ai perdu toutes mes illusions quand j’ai bien du constater que le meilleur ami de mon père, haut fonctionnaire que je croyais irréprochable,en croquait aussi.
Et quand bien même nous aurions l’occasion d’élire « un abbé Pierre politique », que pourrait-il faire, en admettant même que l’appareil politique l’aie laissé venir au devant de la scène ?
Et dévoyer l’appareil étatique au nom de ses idées est encore plus dangereux.
Je ne parviens toujours pas à comprendre pourquoi, si d’aventures je suis dans un bled perdu en Argentine, je peux faire des opérations financières,sur mon compte en Europe, mais que si l’on refait le trottoir dans ma rue ,je ne peux pas donner mon avis.
car toutes les frustrations viennent de considérations aussi basiques.
Le jour où, et la technique est là pour le faire facilement, on consultera le citoyen, à tous les niveaux et sur tous les sujets,bref que le citoyen sera maître de son destin, on aura fait un grand pas.
mais dans ce cas, il ne faudra pas se plaindre si l’on rase quelques minarets,ou si l’on continue avec le nucléaire par exemple.