Et allons y pour la crème à reluire sur l’ingénierie iranienne, il faut si peu pour votre bonheur
L’auteur écrit : « Les Iraniens ont clamé qu’ils avaient réussi à « détourner » le Sentinel en s’introduisant dans ses données GPS : sachant que ces données sont verrouillées (et donc cryptées via un système appelé P(Y)-code), au travers des satellites américains, ça paraît assez improbable, comme le souligne fort justement Wired. (.....) En somme, l’engin a peut-être bien été hacké, mais c’est surtout son mécanisme d’autodestruction qui n’a pas fonctionné. » »
1- Le drone connaît sa position grâce à sa centrale inertielle. Le GPS n’est là que pour corriger de temps en temps la « dérive ». Si l’ordinateur repère une très grosse « dérive », il annule la correction apportée par le GPS en suspectant un brouillage
2- Ill n’existe pas de système d’auto-destruction du drone, une fois tombé au sol mais les données enregistrées sont automatiquement effacées si la liaison est coupée
3- Plusieurs officiels US affirment qu’ils savaient où était tombé le drone (imageries satellitaires à l’appui) mais l’ordre de bombarder le site n’a pas été donnée (un tel acte aurait fait monter grandement les tensions entre les deus pays déjà importantes).
4- Le dessous du Sentinel montré par les Iraniens est caché et on peut présumer que c’est pour cacher des dégâts. De même, les ailes sont rattachées au fuselage par du chatterton.

5- Il est plus que probable que le Sentinel soit tombé à plat en tourbillonnant comme l’avait fait un Global Hawk à China Lake en 2008 suite à un problème technique.
Désolé de faire le rabat-joie