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Commentaire de morice

sur PIP. Couvrez donc ce faux sein, que je ne saurais voir


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morice morice 24 décembre 2011 17:50

« un ex-charcutier reconverti en gros bonnet du faux nichon »


en parlant de ça, ça me rappelle les deux bars ouverts en Colombie par le témoin de mariage de Sarko...

nibard et nichon.... ça fait colombien en diable ça. Bref, avec l’argent du 1% logement détourné, l’homme s’est offert une villa colossale et deux bars à putes : on reste entre gentilhommes en compagnie du président... 

« Cette finca est une forteresse », soupire un responsable policier de Bogota. Plusieurs enquêteurs colombiens, agissant sous l’autorité du parquet local, ont décidé d’engager des investigations sur les propriétés de Thierry Gaubert et de son ami Jean-Philippe Couzi, à Nilo, à 150 km de la capitale colombienne. Alors que les magistrats français chargés de l’affaire Takieddine s’apprêtent à solliciter une entraide judiciaire avec la Colombie, Mediapart peut dévoiler que les policiers colombiens, saisis de soupçons de blanchiment, s’étaient déjà rendus sur place il y a deux ans.

Sont visés par leurs nouvelles vérifications : les propriétés Palmera et Cactus, mais aussi deux bars aux noms évocateurs, le Nibar et le Nichon, ouverts respectivement par Thierry Gaubert et Jean-Philippe Couzi, en 2003 et 2005, dans le village de Nilo. Des investissements de M. Couzi dans un hôtel à Santa Marta − dans le Nord, sur la côte des Caraïbes − sont également dans le collimateur des enquêteurs. Les services de l’UIAF (Unidad administrativa especial de información análisis financiero ; une sorte de Tracfin local) ont été sollicités pour retracer l’origine financière de ces achats. Sans en retrouver la moindre trace.

C’est que Thierry Gaubert, l’ancien conseiller et ami de Nicolas Sarkozy, aujourd’hui mis en examen dans l’affaire Takieddine, et son ami Jean-Philippe Couzi, ont effectivement procédé à ces opérations immobilières sous couvert de sociétés off-shore. 
Selon les certificats délivrés par l’administration, les majestueuses propriétés construites par les deux amis, Cactus et Palmera, appartiennent en effet respectivement à la structure panaméenne Monahan International et à une autre société off-shore, Airedale Business. La première ayant été identifiée par les enquêteurs français.

(...)

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