"Avec tous les argument sérieux, de fond et de forme,à opposer au vote
de l’Assemblée, ce crétin ne sait faire que de l’agit-prop
anti-français pour plaire à ses copains arabes."
Au contraire, donner des arguments de fond et de forme est entrer dans le débat ; là où le vote de l’assemblée est, de faite, la clôture de tous débats. Pas de débat, pas d’argument.
Il n’y a pas à débattre, il y a à mettre en perspective.
Erdogan a raison.
Et répondre l’Algérie à la France est la vrai réponse : une réponse de cours d’école : ton crime est pire que le mien ; mais la seule réponse possible. Parce que la France ne débat pas. Elle impose.
Donc voilà, parlons de l’Algérie. Si on veut parler des arméniens, il faut parler de l’Algérie.
Il faut aussi que la France et l’Algérie affrontent leur histoire. Mais elles le font non à travers des dictats.Ce sont les historiens, mais aussi l’art qui disent et qui font comprendre, ce n’est pas une loi de l’état. Et les peuples font face aussi à leur histoire avec le pardon et avec l’oubli. L’histoire appartient aux peuples, et non aux instances politiques. En ce sens, en s’emparant de ce qui appartient au peuple, l’instance politique commet sur celui ci un viol, un vol, une forfaiture.
D’un point de vue de la structure politique , c’est la même instance qui produit à la fois le crime et la loi qui le condamne.Mais pourquoi le fait-elle ?
Cette instance, ici la France de Sarkosy, -ailleurs un autre tyran-, veut-elle sauver des peuples ?
Parlons de la libye : la plus grosse escroquerie médiatique de tous les temps. 50 00 morts mais pas un mort visible. on nous montre pendant des mois des gens qui tirent à la carabine, on ne sait trop sur quoi, mais s’ils déversent des milliers de bombes, jamais vous ne voyez la gueule de l’ennemi, surtout lorsqu’il prend des bombes dedans.
Aujourd’hui on nous cache la guerre ; et il faudrait ne pas oublier une guerre d’il y a cent ans ?
La France qui veut que l’on n’oublie pas l’Arménie et nous cache la Libye ?
Pardon ?
Il y a manifestement un piège.