Commentaire de Michel DROUET
sur Le cri de désespoir d'un artiste de rue à Florence ?
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Que restera t-il dans cent ans... ?
Peu de choses sans doute, hormis beaucoup d’argent échangé sur ce « marché de l’art » et des couillons qui auront achété au prix fort des croûtes qui ne vaudront plus rien et d’autres qui vivront bien de ces entourloupes.
Ce « marché » ne se distingue en rien des autres : on achète avec une visée spéculative et on perd sa chemise fréquemment.
Derniers commentaires
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20/01 11:05 - Zebron
Tels financiers qui ont voué leurs vies aux chiffres n’ont pas eu le temps de se (...)
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01/01 23:00 - Pierre Régnier
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01/01 16:17 - Paul Villach
@ Bo Je souscris évidemment à ce que vous écrivez. Je vous présente aussi mes meilleurs voeux. (...)
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01/01 11:33 - bo
Paul L« art » est tout simplement un produit comme une lessive, aux mains d’un certain (...)
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29/12 17:05 - Mattsoud
Marc Bruxman, merci d’éclairer un peu ce débat. Même si je suis un adepte de l’art (...)
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27/12 09:32 - Fergus
Bonjour, Emile. Intéressante nouvelle. Elle me rappelle le fait que, naguère, dans mon (...)
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