Un bon papier qui a le mérite de rappeler ce qu’est devenue la GNLF, et l’auteur a raison de rappeler que la sortie médiatique des scandales Karachi, Carlton pour ne citer que ceux là sont l’expression de guéguerres maçonniques.

Quand les frères sont d’accord sur le partage du gateau, tout baigne et le quidam n’est au courant de rien. J’en ai fait la triste expérience en r&gion PACA où j’ai essayé de férailler contre certaines pratiques bananières. ça a fini par des menaces de mort.

Donc, ça fume chez les maçons.

Reconnaissons que sur le plan historique, si les sociétés secrètes ont bien aidé la révolution française, on peut se poser la question légitimement de leur danger potentiel dans une République qualifiée de démocratique.

Et puis ça n’est pas très sérieux, tous ces messieurs qui se déguisent avec force breloques de pacotilles, ou se font monter dans des grades que l’on n’hésitera pas à qualifier au mieux d’infantiles.

Quant à lé véritable inititiation qui consiste à être sur le chemin de la vérité, je crois qu’on peut s’y adonner aujourd’hui onaniquement grâce à la formidable bibibiothèque que constitue internet. Alors l’initiation maçonnique, bof !

Mais imaginer Bertrand ou Melenchon (qui vient de résussir à la mode trotskyste le hold-up définitif sur le PC), en jupette avec breloques en plastoque, ça me fait marrer.

Sujet de rélfexion pour les maçons : de l’utilité des loges en régime (normalement) démocratique.

Mais n’est-ce pas les mêmes loges qui cadenassent aujourd’hui l’ascenseur social à partir d’un certain niveau ?

Enfin, les maçons ne seraient-ils pas le jouet de puissances qui les dépassent ? Il suffit d’aller voir les cv des Monti et Draghi, tous deux des ex Goldman Sachs, mais aussi jésuites.

Les jésuites ? Oui oui, les jésuites bien sur.

Rome rules the world depuis 2500 ans. Rien ne change, enfin, pas grand chose.