Les rites francs-maçons - si tant est qu’on puisse qualifier leur cérémonial de « rite » - ne peuvent attirer que des individus foncièrement infantiles et, donc, des individus à l’ego surdimensionné, des illusionnés. Les illusions égalitaristes - illusions, car on ne peut pas parler d’idées, l’idée étant du domaine purement intellectuel, alors que l’égalitarisme est une croyance et, en tant que tel, ne dépasse le domaine du sentiment - les illusions égalitaristes que tout franc-maçon prêche ont leur source dans les cultes matriarcaux orientaux proto-communistes de l’antiquité et, d’ailleurs, toute la symbolâtrie franc-maçonne en est le reflet. C’est cet égalitarisme, fondamentalement étranger à l’esprit du Romain et du Grec de l’antiquité jusqu’à ce qu’une religion moyen-orientale n’en répande le ferment subversif il y a deux mille ans en Europe, qui constitue un des poisons les plus nocifs de la franc-maçonnerie. Il est directement à l’origine de la contamination des diverses communautés ethniques européennes et de leur dilution actuelle dans le magma fangeux de l’internationalisme et du multi-culturalisme.
Le devoir de tout patriote est de combattre la franc-maçonnerie, mais, plus encore, l’idéologie franc-maçonne, qui n’est d’ailleurs que la forme moderne, adaptée à la conception féminine, bourgeoise, superstitieuse et bureaucratique de la spiritualité qui est celle de l’homme contemporain, d’une religion préhistorique d’origine orientale.