Commentaire de ploubi
sur Michel Rocard se range derrière le bon sens populaire de la monétisation de la dette
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De toute façon même 50%, la Grèce ne peut pas les rembourser, donc « abandonner » n’est pas le terme exact...
Et si j’ai bien compris, les banques ont déjà récupéré ce qu’elles lui ont prêté, ce qui ne rentre pas ce sont les intérêts. Des intérêts qu’elles savaient au moment de l’octroie du prêt qu’ils ne serai jamais remboursable...
Au final, la Grèce a toujours la tête sous l’eau et une ancre accrochée au coup, et en plus elle doit être reconnaissante envers les banques qui font une « faveur »
Nous on a de la chance, on a aussi notre ancre mais la marée est encore basse
Monde pourri...
Derniers commentaires
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08/01 02:09 - thepouet
Merci BA, c’est presque du Cheminade ! C’est vrai quoi ! Extraits : « il est (...)
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06/01 23:47 - ddacoudre
bonjour j-j-r en 1973 l’ensemble de la loi poursuivait un but qui était la suppression (...)
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06/01 23:41 - le poulpe entartré
Cela fait un moment que des indices sur le brave gâteux soi-disant « socialiste » laissaient (...)
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06/01 19:03 - J-J-R
En préambule il n’est pas fait mention de la création monétaire par les banques (...)
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06/01 18:44 - gonehilare
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06/01 16:55 - dawei
on rentre dans une phase bipolaire de la crise, on passe de crise liquidité (due aux (...)
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