Bonjour l’auteur,
Piegé, mais aussi muselés car en fait le locataire actuel de l’Elysée n’a JAMAIS été élu !
Les Bulletins de votes étaient au nom de Nicolas Sarkozy , or la véritable identité de l’individu est : Nicolas Sarközy de Nagy-Bosca !
Une plainte a été deposée en 2007, personne n’en a entedu parler !
L’élection de Nicolas Sarkozy est illégale
A Monsieur le doyen des juges « d’instruction » Tribunal de grande instance de Paris 4, boulevard du Palais PARIS
Plainte avec constitution de partie civile auprès de Monsieur le doyen des juges « d’instruction » siègeant par devant le tribunal de grande instance de Paris* Pour : Le président de « la Polynésie française », des Françaises et des Français René, Georges, HOFFER, né le 28 février 1955 à Strasbourg (FRANCE - 67), BP 13722 98717 - PUNAAUIA, TAHITI
Contre : Monsieur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA, 52, boulevard Malesherbes - 75008 et/ou palais de l’Elysée, rue du faubourg Saint-Honoré 75008 PARIS et Monsieur et Madame le/la « sage », membre du conseil constitutionnel Jean-Louis DEBRE, Guy CANIVET, Renaud DENOIX de SAINT MARC, Olivier DUTHEILLET de LAMOTHE, Jacqueline de GUILLENCHMIDT, Pierre JOXE, Jean-Louis PEZANT, Dominique SCHNAPPER, Pierre STEINMETZ, Jean-Eric SCHOETTL, secrétaire général sis 2, rue Montpensier 75001 - PARIS
Témoin : Madame Michèle ALLIOT-MARIE, ministre de l’intérieur de la France ET « ministre » de l’Outre-mer (affaires étrangères), rue Oudinot - 75 - PARIS
Préambule : Le 7 mai 2007 une plainte (P.J. 01) a été déposée sur le « Territoire de la Polynésie française » (P.J. 02), par le soussigné, en fait le pays de « la Polynésie française » où l’infraction a été constatée. (P.J. 03)
Les faits : La présente plainte, déposée sur le territoire national de la France lors de mon passage à Paris ce jour, est justifiée par le lieu où le délit a été perpétré : la France ; Paris.
Historique : Les 21 et 22 avril et 5 et 6 mai 2007 ont eu lieu sur le territoire de « la Polynésie française » et sur le territoire national français une élection : premier et second tour. Un Monsieur Nicolas SARKOZY était candidat.
Vérifications faites, cette personne n’existe pas dans les registres de l’état civil. (P.J. 04) Il s’agit en fait de Monsieur Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA, usurpateur du nom, de l’identité « SARKOZY ». (P.J. 05)
Cette usurpation apparaît au grand jour dans le Journal officiel de la république française du 1er janvier 2005 où figure l’identité réelle de ce dernier, Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA adoubé chevalier de la légion d’honneur le 31 décembre 2004. (P.J. 06)
Le document daté du 25 avril 2007 présenté et enregistré au conseil constitutionnel français sur en-tête « ensemble tout devient possible » (sic) (P.J. 07) est donc un faux grossier puisque comportant le nom d’une entité inexistante, tout comme comportant d’ailleurs une fausse signature eu égard à celle apposée sur une affiche électorale rédigée en langue tahitienne incitant les électeurs de ce pays à se présenter aux urnes le 6 mai 2007 (P.J. 08) et alors même que le 6 mai aucun bureau de vote n’était ouvert à TAHITI !
Confirmation que la signature du 25 avril est fausse, s’est trouvée exposée à la vue de tout un chacun, lorsque ledit « SARKOZY » (sic) a signé en direct à la télévision le document le mettant sous la coupe de l’ordre de la légion d’honneur, le 16 mai 2007, avant qu’il ne s’accapare une fonction officielle présidentielle. (P.J. 09)
Concernant donc l’usage du faux nom, elle est sanctionnée par la loi du 6 fructidor de l’an II (6 février 1793) qui a posé pour principe l’immutabilité du nom patronymique et qui énonce que notamment : « Art. 1er. Aucun citoyen ne pourra porter de nom ni de prénom autres que ceux exprimés dans son acte de naissance : ceux qui les auraient quittés seront tenus de les reprendre 2. Il est également défendu d’ajouter aucun surnom à son nom propre, à moins qu’il n’ait servi jusqu’ici à distinguer les membres d’une même famille, sans rappeler les qualifications féodales et nobiliaires. 3. Ceux qui enfreindraient les dispositions des deux articles précédents seront condamnés à six mois d’emprisonnement et à une amende égale au quart de leur revenu. La récidive sera punie de la dégradation civique. 4. Il est expressément défendu à tous fonctionnaires publics de désigner les citoyens dans les actes autrement que par le nom de famille, les prénoms portés en l’acte de naissance, ou les surnoms maintenus par l’article 2, ni d’en exprimer d’autres dans les expéditions et extraits qu’ils délivreront à l’avenir. 5. Les fonctionnaires qui contreviendraient aux dispositions de l’article précédent seront destitués, déclarés incapables d’exercer aucune fonction publique, et condamnés à une amende égale au quart de leur revenu. 6. Tout citoyen pourra dénoncer les contraventions à la présente loi à l’officier de police dans les formes ordinaires. 7. Les accusés seront jugés pour la première fois par le tribunal de police correctionnel et, en cas de récidive, par le tribunal criminel du département. »
Cette usurpation a été dénoncée auprès du conseil constitutionnel (P.J. 10) lequel, en faisant le mort, tant par la « voix » de son délégué Pierre-François RACINE que par ses membres, s’est rendu complice de l’usurpation et l’usage de faux patronyme par Monsieur Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA. Que donc le 31 décembre 2004 il a accepté de reprendre sa vraie identité pour la délaisser ensuite ; que cela est proscrit par la loi du 6 fructidor de l’an II.
Enfin, et comme l’écrit « Tageblatt » http://www.tageblatt.lu/edition/art... ?ArticleId=1180 le 11/06/2007 à 16:05:26 concernant « Clearstream » « Les documents bancaires, qui comportaient des noms de personnalités, dont celui Nicolas Sarkozy caché sous son patronyme complet... »
Autrement dit, c’est Monsieur SARKÖZY de NAGY-BOCSA qui se cachait sous le « nom » de Sarkozy ; après la présente plainte et son aboutissement, Monsieur « SARKOZY » ne pourra plus se cacher derrière SARKÖZY de NAGY-BOCSA... et vice, versa.
Circonstance aggravante : Monsieur Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA utilise à qui mieux mieux tantôt l’une, tantôt une autre identité ; en effet, dès avant le 31 décembre 2004 où il est apparu sous son identité de Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA, il se faisait passer pour « Nicolas SARKOZY » (P.J. 11) Qui plus est, il ridiculise actuellement les Françaises et les Français en menant grand train sur deniers publics comme par exemple à la réunion du G8 à HEILIGENDAMM où apparaissant en public sur des images heureusement auto-censurées par les médias français, s’il n’était ivre comme un Boris ELTSINE en son temps, a minima était-il sous euphorisants, cocaïne ou autres le cas échéant ?
Car faut-il préciser, Monsieur Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA a été illégalement élu les 5/6 Mai 2007 « président de la République française » sous le nom de « Nicolas SARKOZY » ; son véritable patronyme n’est donc pas celui sous lequel il s’est présenté et a été élu avec la complicité des membres du conseil constitutionnel qui ont avalisé cette arnaque par leur forfaiture.
Comme l’écrit TAHITI PACIFIQUE MAGAZINE n° 194 en juin 2007, page 9 « Le »serial plaignant« a encore frappé » : « ...Pourtant la loi est supposée être la même pour le citoyen Sarközy de Nagy Bosca que pour le citoyen »de base« . », ce qui est effectivement le cas à TAHITI où, pour se présenter à une élection législative, la candidate connue sous le nom de Loana SANFORD a dû passer sous les fourches caudines de la république française qui l’a obligée à se présenter sous son nom porté sur l’état civil : « Soana SANFORD ». (P.J. 12)
Du code pénal, article 433-19 : Le Code pénal dispose en son article 433-19 que : « Est puni de six mois d’emprisonnement et de 7500 euros d’amende le fait, dans un acte public ou authentique ou dans un document administratif destiné à l’autorité publique et hors les cas où la réglementation en vigueur autorise à souscrire ces actes ou documents sous un état civil d’emprunt :
1º De prendre un nom ou un accessoire du nom autre que celui assigné par l’état civil ; 2º De changer, altérer ou modifier le nom ou l’accessoire du nom assigné par l’état civil. »
En l’espèce, Monsieur Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA a bien altéré son nom, qui ne correspond pas à son acte d’Etat-Civil.
Du code pénal, article 441-6 et 7 : Ces articles mis en avant par la gendarmerie « nationale »... à TAHITI (P.J. 13) impose à un quidam d’avoir pris connaissance de cet article en ses alinea 6 et 7 qui précisent notamment « ...est puni... le fait de fournir une déclaration mensongère en vue d’obtenir d’une administration publique... un paiement ou un avantage indu ».
En l’espèce ce sont les deux : des émoluments présidentiels et tous les ors de la république ! De la qualité de témoin requise de la ministre Michèle ALLIOT-MARIE. Sauf à être complice de Monsieur Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA, la ministre de l’intérieur et de l’extérieur de la France (Outre-mer ! (sic)) a été à l’évidence obligée de « légaliser » a posteriori - par « mémento à l’usage des candidats » aux élections législatives en France - les agissements délictuels.
En effet, dans ce mémento - c’est à dire un simple papier ne faisant pas office de loi ou de document juridique ou judiciaire -, insidieusement elle a glissé dans les pages 6, 29, 30 et 31 le nom d’usage comme supérieur au patronyme, contrevenant à ce qu’a arrêté comme illégal l’haut-commissérette Anne BOQUET à TAHITI !
La page 31 ordonne ainsi, en son « 16 » : « Indiquer ici son nom et son prénom d’usage » s’agissant de la personne acceptant de « remplacer, en cas d’élection et de vacance de siège » ; point n’est question de patronyme ! (P.J. 14)
La ministre Michèle ALLIOT-MARIE sera ainsi attrait dans la présente procédure. En effet , on voit mal un « Loup solitaire » comme député en lieu et place d’un Monsieur François GROSSI ! (P.J. 15)
De la situation engendrée par la forfaiture du conseil constitutionnel :
Le président de « la Polynésie française », des Françaises et des Français soussigné précise en outre que que le mis en cause ne saurait se prévaloir de l’immunité prévue par l’article 67 de la Constitution de la dernière république française dans la mesure où les faits incriminés ont été commis avant son« élection » et que cette « élection », en raison de l’infraction dénoncée, est illégale, nonobstant la complicité des membres du conseil constitutionnel qui encourront la destitution. Enfin, cette infraction porte gravement atteinte à l’autorité de « l’Etat » français et lèse les droits de citoyen, Français du soussigné. (P.J. 16)
Par ces motifs, Ordonner que Monsieur Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA soit poursuivi devant le tribunal correctionnel de Paris. Et qu’une avance de un milliard d’euros (écus) en réparation du préjudice que l’infraction lui cause soit octroyée au soussigné et en prononcer l’exécution provisoire, le soussigné étant depuis son autoproclamation sur la base de l’article 5 de la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, le président des Françaises et des Français depuis le 25 octobre 2004. (Livret de 100 pages reproduisant les documents ayant aboutis à cette autoproclamation gracieusement transmis pour consultation dans le présent dossier. Egalement consultable sur : http://profile.myspace.com/index.cfm ?fuseaction=user.viewprofile&friendid=167450290 (P.J. 17)
Quant à l’argument opposé de façon préremptoire (puisqu’à aucune moment une demande de consignation n’a émané du tribunal auquel cas le soussigné y aurait donné suite dans l’affaire CD/H/07 le 25 mai 2007) par le doyen des juges Fabienne POUS, il sera écarté en l’espèce : conformément à l’article 85 du code de procédure pénale, la présente plainte contient ici même la manifestation expresse du soussigné de se constituer partie civile avec offre de consignation et ce d’autant plus aisément qu’en sa qualité de chef d’Etat... il ne pourra qu’en être dispensé. (P.J. 18)
Enfin, le soussigné précise que contrairement à ce qu’a jugé le président Nicolas BONNAL le 3 avril 2007 dans le dossier 06126322101 et qu’il a demandé à ce juge de rectifier : il n’a jamais été « déjà condamné », à preuve du contraire bien évidemment ; la pièce jointe (P.J. 02) du 27 juillet 2006 pouvant servir de base le 27 juillet 2006 par exemple.
En aparté, au cas où la justice voudrait ignorer que la plainte ne concerne pas un vrai président mais une imposture, Libération http://www.liberation.fr/rebonds/26... sous la plume Monsieur Daniel Soulez Larivière, Avocat, ancien membre de la commission Avril écrit : « ... Oui... à une possibilité de destitution du chef de l’Etat en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ». »... sauf en cas de mandat illégal s’entend ! Paris, le 22 juin 2Mil7
Avec Honneur
Le president de la « Polynésie française », des Françaises et des Français René, Georges, HOFFER
01 : Dossier complet à ce jour de la plainte déposée le 9 mai 2007. 02 : Jurisprudence « Territoire de la Polynésie française » (CA Papeete 208-146/ADD) 03 : Note secrète n° 369253 du 9 octobre 2003 du conseil d’Etat 04 : Mairie de Paris, services de l’état civil, recherche infructueuse. 05 : Mairie de Paris, services de l’état civil, acte de naissance et émargements. 06 : JORF du 1er janvier 2005. 07 : Consentement du 25 avril 2007 d’un « Nicolas SARKOZY » près le Concon. 08 : Affiche électorale où la signature diffère de celle du document ci-dessus. 09 : Extrait du journal télévisé du 16 mai 2007, signature autre que celle du 25 avril. 10 : Saisine du conseil constitutionnel pour dénoncer l’usage de faux noms de candidats. 11 : Entre le 28 janvier 1955 (PJ 05) et le 1er janvier 2005 (P.J. 06), le nom « Nicolas SARKOZY » était déjà usité au moins depuis le 5 juin 1988. (http://www.assemblee-nationale.fr/1...) 12 : La Dépêche de TAHITI, lundi 21 mai 2007-05-22 « INSOLITE Un « S » de trop Vous vous demandez peut-être depuis quelques jours qui est la mystérieuse Soana Sanford, la suppléante de Antonio Perez, candidat à l’élection législative ? Eh bien il s’agit de Loanah Sanford, beaucoup plus connue, mais victime d’une erreur d’enregistrement à l’état civil lors de sa naissance à Rangiroa. Depuis, dans tous les documents officiels comme une candidature à la députation), elle est condamnée à être Soana et non pas Loana. Car modifier son nom ou son prénom, même dans le cas d’une simple erreur d’écriture, c’est un vrai parcours du combattant qui doit passer par une action en justice ! De quoi vous décourager et accepter un petit « S » de trop... » 13 : Attestation de déclaration de la gendarmerie « nationale »... à TAHITI. 14 : Page 31 du « mémento » de la ministre de l’intérieur/extérieur. 15 : Le candidat aux élections législatives François GROSSI. (Loup Solitaire) 16 : « heurter la sensibilité nationale, d’autant que je suis moi-même français... » 17 : Livret « AU NOM DE LA ROYAUTE DE TAHITI... » 18 : Lettre du doyen des juges « d’instruction » Fabienne POUS réf : DC/H/07 du 25 mai 2007
Ré
06/01 20:03 - Defrance
Vas t il se présenter sous le nom de Nicolas Sarközy de Nagy-Bonsaï en 2012 ?
06/01 19:32 - Defrance
Bonjour l’auteur, Piegé, mais aussi muselés car en fait le locataire actuel de (...)
06/01 17:40 - L’Incorruptible
06/01 16:05 - Hermes
Bonjour, C’est effectivement l’uniformité à grands traits et le peu de variations (...)
06/01 14:46 - L’Incorruptible
06/01 14:43 - L’Incorruptible
Ce n’est pas de leur faute, nous sommes tous piégés par des disquettes mentales. Le tout (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération