Cet article est l’archétype de la « petitude » de ces personnes qui n’ont que la gueule, et encore par pseudo interposé. Dire merde à la Chine, si cela vous soulage comme dit l’intervenant précédent, mais cela ne vous donnera pas une raison d’exister.
Il fallait dire merde aux anglais lorsqu’ils ont envahi la France, aux Prussiens, aux allemands nazis, aux américains, aux japonais et pour résumer à la terre entière puisque vous vous pensez supérieur.
La France c’est quoi de nos jours ? Un petit pays perdu dans une Europe qui n’existe pas et qui ne survit que sur les bases de ce qui a été réalisé il y a des siècles. Les touristes étrangers ne viennent pas visiter les Français, mais un pays qui a été ruiné par ses héritiers.
Les Chinois augmentent leur influence dites vous ? Qui soutient l’euro actuellement si ce ne sont les fonds souverains Chinois. Ils critiquent la gestion de l’Europe ? Etes-vous si prétentieux pour pouvoir penser qu’elle est bien gérée ?
Vous semblez très amis avec celui que vous considérez sans doute encore comme le libérateur d’un pays qui était déjà à l’époque bien géré. Ce sont pourtant eux qui sont à la base des problèmes actuels : la bulle immobilière dont on parle tant pour la Chine, mais qui aux USA a mis à rue 50 millions d’américains. Les fonds spéculatifs qui jouent avec la dette européenne sont également américains. C’est General Motors qui a mis au chômage des milliers d’employés de Saab en refusant de céder des brevets dont il ne fera jamais rien.
De la même manière que vous trompez dans la désignation de vos amis, vous vous fourvoyez dans celle de vos ennemis.
Le véritable problème est que vous avez cru faire en Chine de la même manière que vous avez fait en Afrique et que ça n’a pas marché.
Les responsables ? Il sont ici en France et non en Chine. Ce sont tous ces politiques médiocres pour qui vous vous empressez de voter pour en tirer quelques avantages du moment. Comme l’on est en démocratie, ces élus sont les nôtres et représentent assez bien la médiocrité d’une population vivant sur un seul héritage : celui du passé.
Vous en êtes un digne représentant, soit le genre de sale gamin qui pleure dans les jupes de sa maîtresse à l’école maternelle : "C’est pas moi, c’est l’autre.