Cher Gérard Lucon,
Concernant la Chine, ses réalités sociales profondes et sa dictature mafieuse, il me semble que la comparaison avec sa petite soeur protégée de Pyongyang est d’une véracité indéniable, où que l’on habite, et surtout si on a des contacts et voyages réguliers au sein de la population chinoise laborieuse depuis 1989.
Les seuls à estimer que la dictature corrompue de Pékin regarde dans des directions différentes sont ses adorateurs patrons investisseurs, quoique maintenant déçus car éjectés après avoir rempli les comptes en banque suisse des dirigeants du parti unique et de l’Etat.
Que les employeurs délocalisateurs du monde aient adoré la dictature qui assurait leurs profits en opprimant le peuple est un fait. Que certains se sentent aujourd’hui « cocus » est une autre affaire car la dictature poursuit avant tout la politique de SES PROPRES INTERETS D CASTE.
Ce qui permet de voir que l’avenir est plus prometteur que le passé sont les grèves de masse, la naissance de syndicats indépendants de l’ACFTU et l’apparition d’un Code du Travail qui suit les émeutes ouvrières et paysannes récentes.
Bien cordialement,