@ ballochet
10 janvier 13:54
Effectivement, il faudrait revoir ton logiciel de lecture qui est complètement périmé, et de toute façon contient des bugs intrinsèques.
Il n’y a aucun rapport entre les khmers rouges et le front de gauche, sauf des choses superflues, symboliques, comme la référence à la couleur rouge.
Le front de gauche se veut héritier de la pensée philosophique socialiste française, qui est elle même héritière des Lumières et de la révolution française. Le front de gauche se fait l’héritier d’une pensée dont le slogan est liberté, égalité, fraternité, sans en sacrifier un terme (voir la définition du socialisme de Leroux).
Chez les khmers rouges, tu ne trouveras rien d’approchant. Chez les khlmers rouges, il n’y a ni liberté, ni égalité, et encore moins fraternité. Les khmers rouges n’ont aucne affinité avec les Lumières, directement ou indirectement, ils n’appartiennent pas à la même faille politique, idéologique que le socialisme français. Les khmers rouges se disent socialistes, mais leur idéologie réelle n’a rien à voir avec le socialisme, qui est une pensée démocratique. en fait ils ont beaucoup de points communs avec l’extrême droite plutôt qu’avec la gauche française.
Pour rappel ni en 36, lors du front populaire, ni en 81 avec Mitterrand, la France ne s’est transformée en terrible dictature sanglante. Sous Mitterrand les médias se sont décoincés, les radios sont devenues libres, et il y a peu plus de création de chaine non étatique que depuis le début de la 5ème république sous la droite, pas difficile puisque c’était égal à 0.
Faut il te rappeler les nombreux combats pour les libertés individuelles qu’on mené la gauche française au cours de son histoire qui les a opposé à la droite du centre ?
L’association gauche française aux régime type khmer rouges est une manipulation, de ces mêmes régimes qui ont récupéré l’image positive des luttes de gauche, pour mieux masquer leurs vrais mobiles. Même manipulation, utilisée en retour par les adversaires de la gauche réelle, pour s’éviter d’avoir de réels arguments.