Et oui savez-vous qu’il n’existe pas de code de déontologie dans le journalisme. En plus quand on constate l’origine de l’article que vous avez copié collé, on peut se permettre d’avoir des doutes. Je suis intervenu quelques plus de deux ans après et je puis vous assurer que Le Pen n’avait pas laissé un souvenir marquant de ses exploits, exploits à la mode militaire à savoir ses recherches dans la casbah. De même engagé en Indo, il n’a pas sauté sur Dien Bien Phu. Je ne saurais dire si c’est sa volonté ou non. Il m’étonne grandement qu’il ait oublié un poignard dans ses opérations et crois plutôt à une manipulation sur un poignard trouvé comme on trouvait facilement des pistolets mitrailleurs ( oubliés tiens donc ! ) Le Monde journal dont l’orientation est bien connue n’est pas un parangon de vertu journalistique. J’étais sergent et j’ai entendu des témoignages de mes anciens, sous-off comme moi qui eux se vantaient-ils je l’ignore, mais témoignages sur les officiers, disons qu’ils travaillaient sur les renseignements obtenus, mais pas de témoignages graveleux comme les ignares et faux culs le prétendent ( voir les Centurions de jean Lartéguy ) Quant aux témoignages des lacheurs, ils sont dans l’air empoisonné du temps, la dénonciation d’un sale boulot que le gouvernement avait demandé de faire selon une formule qui le dit sans le dire. Les photos des attentats fellouzes en une du défunt France-Soir faisaient mauvais effet à Paris. Alors à guerre sale imposée on répond par une guerre sale, comme on répond aux canon par des canons. Les charges de la cavalerie c’est terminé depuis Napoléon.