« Extrême » Mélenchon ?
Oui, pour tous ceux qui nous balladent et abusent en pernanence de la naïveté des gens, avec de « belles phrases creuses », qui continuent inlassablement dans la voie du « tout marché », du « tout libéral » sans remettre en question leur doctrine, au risque de nous enfoncer toujours plus dans les crises, les recessions et au final, la violence.
Il est le seul à tenir un discours vrai aux Français, il est le seul à expliquer ce qui se trâme à Bruxelles, il est le seul à expliquer ce que cette politique économique libérale entraîne comme résultat : tjrs plus d’exclusion, tjrs plus de pauvreté et donc de violence.
Il y a clairement un lien entre la pauvreté qui se généralise, les crises multiples et la politique libérale de « libre échange globalisé », où la compétitivité se joue sur le rapport de force entre travail et capital.
Faire croire aux Français que l’austérité est nécessaire, que les étrangers sont un pb, est prendre les Français tjrs plus pour des « glands ».
Dès qu’il s’agit de critiquer le « système », on voit une horde de « beaux parleurs » crié « extrême ».
La France peut renverser la vapeur en 2012 en s’unissant derrière le FDG (qui fait des ramitification partout, même en Allemagne avec Die Linde) et son candidat commun : Mélenchon
Son programme tient la route, tant au niveau social qu’économique (notamment avec la plannification écologique pour amener la société vers sa mutation obligée) et politique.
Cela inclus un changement radical de « politique » et de « façon de penser », ce qui n’est de toute évidence pas donner à tout le monde, et notamment pour les adeptes de « l’économie de marché » à tout prix, de la croissance sans fin et de la création de « richesse » par création de « dettes ».
Faire peur aux gens pour que rien ne change, voilà ce qui est extrême, et étrangement, ce discours ne vient pas de Mélenchon, mais des protagonistes du « mensonge » et des « petites phrases » toutes faites.